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Méta
LES PEUPLES CROUPISSENT DANS LA CRASSE IGNORANCE DE TOUT CE QUI REGARDE LEUR SALUT
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LE DEVOUEMENT FILIAL DE TOUTE MA VIE
Immaculée Conception de la Vierge Marie
Marie dit alors :
« Voici la servante du Seigneur ;
que tout m’advienne selon ta parole. »
Lc 1: 38
J’invoque à cet effet l’intercession de la très sainte et immaculée vierge Marie, Mère de Dieu, osant lui rappeler en toute humilité, mais avec consolation, le dévouement filial de toute ma vie et le désir que j’ai toujours eu de la faire connaître et aimer et de propager son culte en tous lieux.
Extrait du testament d’Eugène de Mazenod, le 1 aout 1854, E.O. XV n. 191
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IL N’Y A POINT DE REGRETS A AVOIR QUAND ON A FAIT POUR LE MIEUX
Mercredi, 2ème Semaine de l’Avent
« Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. »
Mt 11:28
… Il n’y a point de regrets à avoir quand on a fait pour le mieux. Dieu se sert même de l’erreur des hommes pour parvenir à ses fins. J’ignore ce qu’il demande de moi; tout ce que je sais, c’est qu’il gouverne par sa sagesse ceux qui n’ont d’autre but que de travailler pour sa gloire.
… Nous qui invoquons le Seigneur nous devons nous consoler de tout en pensant que nous sommes invisiblement guidés par sa Providence.
Lettre à Henri Tempier, le 24 octobre 1833, EO VIII n 469
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NOTRE AME S’ASSOCIE AUX TRANSPORTS HEUREUX QUI FONT TRESSAILLIR LE CIEL POUR LES PECHEURS QUI SE CONVERTISSENT
Mardi, 2ème Semaine de l’Avent
« Si un homme possède cent brebis et que l’une d’entre elles s’égare, ne va-t-il pas laisser les 99 autres dans la montagne pour partir à la recherche de la brebis égarée ?
Et, s’il arrive à la retrouver, amen, je vous le dis : il se réjouit pour elle plus que pour les 99 qui ne se sont pas égarées. »
Mt 18:12-13
« La sollicitude que nous vous devons, en occupant sans cesse notre pensée de la douleur que nous cause la perte de tant d’âmes engagées hors des voies du Salut, est souvent aussi récompensée par les plus douces consolations. Lorsque nous voyons la grâce agir puissamment parmi vous et répandre à la fois la lumière dans les esprits et la charité dans les cœurs, lorsque la miséricorde infinie du Seigneur se manifeste avec éclat au sein de nos ouailles, et que la brebis égarée que nous croyions perdue est ramenée au bercail et rendue à notre amour, alors notre jubilation est grande, nous pouvons dire, comme sain Paul, que nous « surabondons de joie » (2 Co 7,4) car notre âme s’associe aux transports heureux qui font tressaillir le Ciel pour les pécheurs qui se convertissent. »
Eugène de Mazenod, Instruction pastorale sur les missions, 1844
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IL NE FAUT RIEN LAISSER SANS L’OSER
Lundi, 2ème Semaine de l’Avent
Arrivent des gens, portant sur une civière un homme qui était paralysé ; ils cherchaient à le faire entrer pour le placer devant Jésus.
Mais, ne voyant pas comment faire à cause de la foule, ils montèrent sur le toit et, en écartant les tuiles, ils le firent descendre avec sa civière en plein milieu devant Jésus.
Lc 5:19-20
«Il ne faut rien laisser sans l’oser, pour faire avancer, pour porter plus loin le règne du Christ.»
Eugène de Mazenod, Préface de la Règle de 1826
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ELLE A VIVIFIE CEUX QUI L’ONT REÇUE
Jeudi, 1ère Semaine de l’Avent
Ainsi, celui qui entend les paroles que je dis là et les met en pratique est comparable à un homme prévoyant qui a construit sa maison sur le roc.
La pluie est tombée, les torrents ont dévalé, les vents ont soufflé et se sont abattus sur cette maison ; la maison ne s’est pas écroulée, car elle était fondée sur le roc.
Mt 7:24-25
Cette parole sainte retentit avec les plus admirables effets dans notre diocèse ; on l’a entendue dans les bourgs et dans les campagnes comme dans la ville épiscopale, et on a senti que, transmise de Jésus-Christ à ses Apôtres, elle n’a rien perdu de son efficacité en traversant les siècles ; on a senti que, sortie de la bouche de celui qui est lui-même « la vie éternelle », elle est toujours « esprit et vie » (Jn 6,64), elle a vivifié ceux qui l’ont reçue «
Eugène de Mazenod, Instruction pastorale sur les missions, 1844
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MARCHER SUR LES TRACES DES APOTRES ET PROPAGER LA CONNAISSANCE ET L’AMOUR DE JESUS-CHRIST
Mercredi, 1ère Semaine de l’Avent — S. André, Apôtre
En ce temps-là, comme Jésus marchait le long de la mer de Galilée, il vit deux frères, Simon, appelé Pierre, et son frère André, qui jetaient leurs filets dans la mer ; car c’étaient des pêcheurs.
Jésus leur dit : « Venez à ma suite, et je vous ferai pêcheurs d’hommes. »
Aussitôt, laissant leurs filets, ils le suivirent.
Mt 4:18-19
Quel plus beau ministère que celui de former à la vertu et surtout aux vertus religieuses ces âmes d’élite appelées de Dieu pour marcher sur les traces des Apôtres et propager la connaissance et l’amour de Jésus-Christ. Combien ne peut-on pas profiter soi-même en portant les autres à la perfection! C’est là ce qui vous est échu en partage. Félicitez-vous-en, mon cher fils, et comptez sur l’assistance de Dieu dans ce précieux ministère.
Lettre au Père Dorey, Maître des Novices, 15 octobre 1848, EO X n 990
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COMBLE DES DONS DE MON SAUVEUR
Mardi, 1ère Semaine de l’Avent
Puis il se tourna vers ses disciples et leur dit en particulier :
« Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez !
Car, je vous le déclare :beaucoup de prophètes et de rois ont voulu voir ce que vous-mêmes voyez, et ne l’ont pas vu, entendre ce que vous entendez, et ne l’ont pas entendu. »
Lc 10:23-24
Depuis l’heureux moment où, régénéré dans les eaux salutaires du baptême, je fus élevé à l’auguste dignité d’enfant de Dieu, comblé des dons de mon Sauveur, je pourrais plutôt compter les mouvements successifs et précipités de ma respiration que le nombre des inestimables bienfaits que cet adorable Maître répandit sur moi à pleines mains.
Conférence spirituelle, 19 mars 1809, EO XIV n 48
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NOUS EMBRASSONS LA TERRE ENTIERE PAR NOS APOTRES
Lundi, 1ère Semaine de l’Avent
«Aussi je vous le dis :
Beaucoup viendront de l’orient et de l’occident
et prendront place avec Abraham, Isaac et Jacob
au festin du royaume des Cieux. » Mt 8:11
Impossible de trouver une réunion de plus sages, de plus fervents enfants. Je vais en envoyer six au Texas, quatre à la Rivière-Rouge et trois à Ceylan. Je les ordonnerai prêtres avant leur très prochain départ car ils sont tous diacres. Jamais nous n’en avions tant eus dans la Congrégation. Aussi nous embrassons la terre entière par nos apôtres dont le zèle et le dévouement m’arrachent des larmes de joie et de tendresse. Ils partent heureux d’être choisis pour annoncer la Bonne Nouvelle sans avoir l’air de faire le moindre sacrifice. Comment ne pas admirer l’opération du Saint-Esprit dans ces âmes généreuses?
Lettre au Père Charles Baret, 24 janvier 1852, EO XI n. 1098
[NOTE : Chaque année, à peu près à cette époque, je mets en pause la réflexion chronologique quotidienne sur les écrits de saint Eugène. Cette année, j’ai décidé de faire une « pause » mais de faire quelque chose de différent : une citation quotidienne de saint Eugène liée à l’Évangile du jour du temps liturgique].
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C’EST UN AUTRE MOI-MEME
La présence oblate en Angleterre a commencé soudainement sur des bases peu sûres avec l’arrivée du Père Daly, tout juste ordonné et inexpérimenté. Il était difficile pour Eugène de trouver des Oblats capables d’apprendre et de parler anglais dans un délai aussi court. Au fur et à mesure que les effectifs augmentaient, il était nécessaire d’assurer la présence d’un Oblat mature pour solidifier les fondations. La personne choisie fut le Père Casimir Aubert qui ne pouvait pas être épargné de ses engagements en France, mais qui se rendrait en Angleterre pour de longues périodes. Eugène a écrit à M. Phillipps:
Le R. Père Aubert, à qui j’ai donné les pouvoirs de visiteur, aura l’honneur de vous voir et de s’entretenir avec vous sur tout ce qui intéresse le bien de la religion dans vos contrées. C’est un autre moi-même dont vous connaissez d’ailleurs le mérite.
Lettre à M. Ambrose Lisle March Phillipps, Manoir de la Grâce-Dieu, 2 juillet 1846, EO XIII n 107
« Alter ego » est une expression latine utilisée par Eugène et qui se traduit par « un autre moi ». Elle signifiait que l’Oblat avait bien compris l’esprit et la façon de gouverner du Fondateur et qu’il était habilité à prendre des décisions en conséquence lorsque Eugène n’était pas présent pour être consulté. Il considérait comme « alter ego » tous ceux qu’il choisissait pour être les fondateurs de nouvelles missions, ou qu’il nommait comme visiteurs officiels, dans les pays hors de France. Casimir Aubert était très respecté par Eugène.
Le Père Michael Hughes nous donne quelques détails sur cette nouvelle entreprise oblate en Angleterre.
« Ambrose Phillipps voulut s’établir au manoir de Grace Dieu comme protecteur d’un lieu de culte d’où les prêtres iraient convertir les gens de la région…
Le 5 septembre 1845, la communauté prit possession de The Warren, maison mise à la disposition des Oblats à quelque distance du manoir. Cette maison permettait aux pères de jouir de la solitude nécessaire à la vie de communauté, mais elle était trop éloignée des villages où ils exerçaient leur ministère. M. Ambrose accepta de leur construire une nouvelle résidence près de la chapelle de Holy Cross à Whitwick…
Les premiers membres de la communauté furent les pères Perron, supérieur, Naughten, le frère Bayeul et l’abbé Coussinier, prêtre diocésain de Marseille. Les pères Cooke et Tamburini, avec John Noble non encore prêtre, rejoignirent la communauté en juillet 1846. (https://www.omiworld.org/fr/lemma/grace-dieu-angleterre-1845-1848-fr/)
Avec de modestes débuts, la province anglo-irlandaise allait devenir l’un des principaux fournisseurs de missionnaires oblats dans tous les pays anglophones du monde.
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