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Méta
IL SE LAISSE ENTRAÎNER À FAIRE PLUS QUE SES FORCES NE LE COMPORTENT, IL VOIT POURTANT CE QU’IL EN RÉSULTE
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VOUS SAVIEZ POURTANT LE PRIX QUE J’ATTACHE À VOTRE EXISTENCE ET TOUT CE QUE J’ATTENDS DE VOTRE ZÈLE ET DE VOTRE INTELLIGENCE.
Le Père Adrien Telmon était un tourbillon d’activité ! Très talentueux, créatif et impulsif, il se lança avec zèle dans d’innombrables projets missionnaires en France, et maintenant au Canada. Eugène se préoccupait de son bien-être.
J’attends vos lettres avec d’autant plus d’impatience que je sais que vous avez été malade et que les détails sur vos travaux et votre situation me sont nécessaires pour mon administration… Maintenant, mon enfant, s’il vous reste encore quelque étincelle d’affection pour moi dans le cœur, je vous en conjure donnez-moi vous-même directement de vos nouvelles, mais bien détaillées, bien circonstanciées, accompagnées de la promesse de faire tout ce qui dépendra de vous pour ne pas mettre d’obstacle à votre parfait rétablissement. Si vous étiez auprès de moi, je me chargerais de l’exécution des prescriptions médicales; à 2000 lieues je ne puis que supplier, ordonner s’il le faut, et m’inquiéter beaucoup…
Eugène avait un amour paternel et une préoccupation pour lui, ce qui exigeait parfois beaucoup de patience. Sa frustration face au comportement d’Adrien est évidente dans cette lettre.
J’en reviens à votre santé. Je vois avec une profonde douleur qu’elle s’est considérablement [affaiblie] par l’excès de travail auquel vous vous êtes livré. Vous n’avez jamais su vous modérer, mon cher enfant; vous saviez pourtant le prix que j’attache à votre existence et tout ce que j’attends de votre zèle et de votre intelligence. Pourquoi vous mettre dans l’impossibilité d’agir faute d’avoir la mesure de vos forces? Je vous en conjure donc, il en est encore temps, suspendez tout ce qui peut entretenir votre mal et l’aggraver. Ne faites ni plus ni moins de ce que vous prescrit votre médecin. Vous n’êtes plus dans le cas de braver les ménagements qui vous sont indiqués; obéissez avec simplicité, là se trouve pour vous présentement tout le mérite.
Lettre au P. Adrien Telmon au Canada, 26 janvier 1846, EO I n 60
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RENDRE MOI UN COMPTE PERSONNEL DE TOUS VOS SUJETS EN MISSION EN AMERIQUE
En tant que Supérieur général, Eugène était obligé de prendre des décisions concernant le bien-être des Oblats en dehors de la France, mais il avait besoin d’informations pour pouvoir le faire. Au 19ème siècle, les lettres entre le Canada et la France mettaient plusieurs mois à arriver et Eugène trouvait cela exaspérant. C’est pourquoi il a insisté pour que tous les supérieurs locaux lui écrivent tous les trois mois, et les autres une fois par an au minimum. Du Supérieur de toute la mission canadienne, le Père Guigues, Eugène attendait une communication plus fréquente et plus détaillée, comme il l’indique dans cette lettre:
Je vous prie de saluer affectueusement de ma part le p. Allard dont j’ai reçu la lettre en son temps. Vous me ferez plaisir, dans une de vos premières lettres, de me rendre un compte personnel de tous vos sujets en mission en Amérique; vous me parlerez des progrès qu’ils font dans la vertu, des efforts qu’ils font pour corriger leur caractère s’il est défectueux, de leur régularité, de leur obéissance, de leur union, de leur capacité pour les divers ministères, etc. Ce compte-rendu doit me parvenir au moins une fois par an. Voilà pour les personnes, nulle exceptée. Vous en ferez autant pour l’état de chaque maison et pour chaque mission. Ce second rapport, s’il vous coûte trop d’écrire, vous pourrez le dicter au p. Allard. Exactitude, précision, point d’exagération, confiance, simplicité, voilà ce que j’attends de vous pour ma gouverne.
Lettre au Père Eugène Guigues au Canada, 14 mai 1846, EO I n 62.
Ce qui est intéressant ici, c’est que la principale préoccupation d’Eugène n’était pas ce que les Oblats faisaient en tant que missionnaires, mais la qualité de leur vie : leur « être pour faire ». Il était convaincu qu’ils accomplissaient davantage par le témoignage que par les mots.
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JE NE PUIS CONSENTIR QUE NOS PERES AILLENT SEULS DANS QUELQUE MISSION QUE CE SOIT
Eugène avait imaginé que les Pères Aubert et Taché, nouvellement ordonné, vivraient en communauté et exerceraient leur ministère à partir de là. Eugène a été alarmé d’apprendre que ce ne serait pas le cas :
Ce que me dit le p. Allard relativement à la Rivière-Rouge ne laisse pas que de m’alarmer. Nos deux Pères, me dit-il, vont être séparés pour une année. Mais je n’entends pas les choses ainsi, je ne puis consentir que nos Pères aillent seuls dans quelque mission que ce soit. Toute sorte de bien doit être subordonné à celui-là. Expliquez-vous, je vous en prie, avec NN. SS. les Évêques et prenez-le pour règle de votre propre gouverne.
Lettre à Eugène Guigues au Canada, 30 juillet 1846, EO I n 67
Les défis missionnaires de milliers de personnes qui n’avaient pas été évangélisées rendaient cela impossible, comme le raconte Yvon Beaudoin.
Le père Taché passe une partie de l’hiver à Saint-Boniface et l’autre à Baie-Saint-Paul où il étudie les rudiments de la langue sauteuse. Le 8 juillet 1846, il part avec l’abbé Laflèche pour fonder la mission de l’Île-à-la-Crosse. Ils passent l’hiver au poste de la Compagnie de la Baie d’Hudson et étudient le cri. L’abbé Laflèche travaille ensuite auprès des Indiens proches du poste de traite et le père Taché se charge, au cours des étés de 1847, 1848, 1849 et 1850, des longues courses apostoliques au Lac Caribou et au Lac Athabaska. Le 25 mars 1847, Mgr de Mazenod écrit au père Guigues: «Je gémis de voir un si jeune père, à peine sorti du noviciat, séparé de tous les nôtres à une si grande distance.»”(https://www.omiworld.org/fr/lemma/tache-mgr-alexandre-fr/
L’alarme d’Eugène devait être multipliée et constamment répétée pour le reste de sa vie : la communauté apostolique et le zèle missionnaire étaient deux aspects essentiels de son charisme – mais comment maintenir un équilibre dans ces éléments essentiels lorsque le besoin d’évangéliser les gens était si pressant ?
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RAPPELEZ-VOUS QUE QUELQUE PART QUE VOUS SOYEZ, VOUS DEVEZ TOUJOURS ÊTRE CE QUE VOUS ÊTES
En France, Eugène connaissait tous les Oblats et ils n’avaient aucun doute sur son affection pour eux en tant que père d’une famille missionnaire. Il n’avait jamais rencontré le Canadien Alexandre Taché mais tenait à lui assurer qu’il était un membre aimé de la famille, même s’ils ne s’étaient jamais rencontrés.
Je reviens au p. Taché avec lequel je n’ai pas encore bien fait connaissance. J’attends de lui une petite lettre qui me montre son écriture, c’est quelque chose, à défaut de la personne, de voir des lignes tracées par la main de celui qu’on ne peut voir, mais que l’on aime déjà par l’effet de l’admirable union de la charité qui ne fait de nous tous qu’un cœur et qu’une âme. Je vous charge expressément, mon cher fils, de lui exprimer tous les sentiments que vous me connaissez pour les enfants que le bon Dieu m’a donnés.
En tant que membres de la famille des Missionnaires Oblats, les Pères Aubert et Taché, avaient un style de vie bien précis à vivre.
Jusqu’à présent vous ne formez qu’une bien petite communauté, n’importe, conformez-vous à la règle autant qu’il vous sera possible. Quoique vous ne soyez que deux, rien n’empêche que vous fassiez bien des choses en commun: vos méditations du matin et du soir, votre office, vos examens. Vous accomplirez un devoir, et ceux qui habitent la maison de l’Évêque en seront édifiés. Rappelez-vous que quelque part que vous soyez, vous devez toujours être ce que vous êtes.
Lettre au Père Pierre Aubert à St Boniface, Canada, 21 février 1846, EO I n 61
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CE SONT DES HOMMES QU’IL NOUS FAUT, ET ON M’ENVOIE DES ENFANTS!
L’Oblat canadien, Alexandre Taché, était un scolastique de 22 ans quand Eugène l’a envoyé à St Boniface. En écrivant au Père Pierre Aubert à son sujet, Eugène a dit:
Je n’avais pas attendu votre lettre pour régler que l’on vous associât un prêtre. Vous fûtes parti quand mes ordres arrivèrent à Longueuil. J’écris de nouveau pour que l’on vous envoie un prêtre parmi les deux sujets qui doivent aller vous rejoindre.
Je présume pourtant que le cher compagnon qui a été fonder avec vous la mission de la Rivière-Rouge a été élevé au sacerdoce comme il a dû aussi faire sa profession entre vos mains comme j’y avais autorisé. C’est beau de faire ses vœux sur le champ de bataille en face de l’ennemi que l’on vient combattre de si loin. Toutes ces choses m’étaient présentes le 17 de ce mois, et j’en parlai même dans la belle réunion de tous nos Pères et Frères qui renouvelaient entre mes mains et en la présence de N [otre]-S [eigneur] Jésus-Christ la consécration qu’ils avaient.
Lettre au Père Pierre Aubert à St Boniface, Canada, 21 février 1846, EO I n 61
Les deux missionnaires et deux Sœurs Grises partent le 25 juin dans un canot de la Compagnie de la Baie d’Hudson et arrivent à Saint-Boniface le 25 août, après 62 jours de voyages. Déçu à la vue de ce jeune novice, Mgr Provencher aurait dit: «Ce sont des hommes qu’il nous faut, et on m’envoie des enfants!» https://www.omiworld.org/fr/lemma/tache-mgr-alexandre-fr/
Monseigneur Provencher a ordonné cet « enfant » au diaconat dès son arrivée, puis à la prêtrise en octobre 1845, et le lendemain, le Père Aubert a assisté à son oblation perpétuelle à Saint-Boniface. Cinq ans plus tard, Alexandre Taché est devenu évêque et deviendra une force majeure dans l’établissement et la croissance de l’Église dans l’Ouest du Canada.
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25 JANVIER 1816 – RAPPEL DES JOURS DE LA FONDATION
Le premier jour de vie de communauté des Missionnaires, représente évidemment, une histoire de première importance, souvent reprise dans tous ses détails. Dans ses Mémoires, le P. Tempier le décrit ainsi : «Ce jour mémorable que je n’oublierai jamais aussi longtemps que je vivrai.»
Ici, Eugène écrit aux novices et aux scolastiques de Billens, en Suisse ; ils s’y trouvent pour échapper aux dangers d’une persécution antireligieuse du gouvernement de Louis Philippe. Il fait le récit du début de leur famille religieuse, et en tire une conclusion concernant le vœu de pauvreté et l’appel à la simplicité.
Je célèbre demain l’anniversaire du jour où, il y a seize ans, je quittais la maison maternelle pour aller m’établir à la mission. Le p. Tempier en avait pris possession quelques jours avant. Notre gîte n’était pas si magnifique que le château de Billens, et quelque dépourvus que vous soyez, nous l’étions encore davantage. Mon lit de sangle fut placé dans le petit passage qui conduit à la bibliothèque qui était alors une grande chambre servant de chambre à coucher au p. Tempier et à un autre qu’on ne nomme plus parmi nous; c’était aussi notre salle de communauté. Une lampe formait tout notre bel éclairage et, quand il fallait se coucher, on la posait sur le seuil de la porte pour qu’elle servît aux trois.

La table qui ornait notre réfectoire était une planche à côté d’une autre, posées sur deux vieux tonneaux. Nous n’avons jamais eu le bonheur d’être si pauvres depuis que nous avons fait vœu de l’être. Nous préludions, sans nous en douter, à l’état parfait où nous vivons si imparfaitement. Mais je remarque, à dessein, cette espèce de dénuement très volontaire puisqu’il eût été facile de le faire cesser en faisant transporter tout ce qu’il fallait de chez ma mère, pour en déduire que le bon Dieu nous dirigeait dès lors, et vraiment, sans que nous y pensassions encore, vers les conseils évangéliques dont nous devions plus tard faire profession. C’est en les pratiquant que nous en avons connu le prix.
Je vous assure que nous n’avions rien perdu de notre gaieté; au contraire, comme cette nouvelle manière de vivre formait un contraste assez frappant avec celle que nous venions de quitter, il nous arrivait souvent d’en rire de bien bon cœur. Je devais ce bon souvenir au saint anniversaire de notre premier jour de vie commune. Que je serais heureux de la continuer avec vous!
Lettre à Jean-Baptiste Mille et les novices et scolastiques,
le 24 janvier 1831, E.O. VIII n.383
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IL EST DES REGARDS QUI ONT UNE INFLUENCE MARQUEE SUR TOUTE UNE EXISTENCE
L’évêque Joseph Norbert Provencher de la colonie de la Rivière Rouge (Manitoba), qui avait besoin de prêtres pour développer les œuvres de son diocèse, a demandé au Supérieur des Oblats canadiens, le Père Guigues, l’aide des Oblats. Le Père Guigues a hésité car il n’avait pas de missionnaires à libérer de leurs engagements actuels. Eugène a agi rapidement et a nommé le Père Pierre Aubert et un jeune Canadien, Alexandre Taché, comme premiers deux Oblats à Saint-Boniface.
Yvon Beaudoin:
» il entre au grand séminaire de Montréal le 1er septembre 1841. En se rendant à la cathédrale, le 3 décembre, fête de saint François Xavier, il voit les six premiers Oblats arrivés la veille. Il écrira plus tard à ce propos que ses yeux s’attachèrent, avec une attention particulière, sur leurs figures et leurs croix d’Oblats. «Il est des regards qui ont une influence marquée sur toute une existence; celui que j’arrêtai alors sur les pères Honorat et Telmon n’a pas peu contribué à toute la direction de ma vie.»
Sa théologie n’est pas terminée lorsque Mgr Ignace Bourget le nomme régent au collège de Chambly (1842-1843) puis, en janvier 1844, professeur de mathématiques au séminaire de Saint-Hyacinthe. Le 5 octobre 1844, Alexandre commence son noviciat à Longueuil. Le père Jean-François Allard, maître des novices, le juge très favorablement. Il écrit à Mgr de Mazenod: «
Le frère A. Taché, d’une des familles les plus distinguées du pays, jouit au dehors d’une réputation de talent bien assise: mémoire heureuse, esprit droit, jugement solide, pénétration peu commune, facilité d’élocution. Toutes ces qualités sont relevées par une sagesse, une excellente éducation, une politesse exquise qui le feront briller dans toutes les sociétés. De plus, il possède l’humilité et la prudence, ne parlant qu’avec beaucoup d’à-propos” (https://www.omiworld.org/fr/lemma/tache-mgr-alexandre-fr/)
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ARBORER LE SIGNE DU SALUT, LA CROIX DU SAUVEUR JESUS
Le Père Pierre Aubert était au Canada depuis deux ans. En 1846, le Supérieur général l’a nommé supérieur et fondateur de la première mission oblate de l’Ouest, à Saint-Boniface.
Je n’ai que peu d’instants, mon cher et très cher père Aubert, pour vous écrire et je voudrais m’entretenir avec vous une journée entière…
Oh oui, mon bien cher ami, je vous aime aussi comme un fils, et je vous considère comme un apôtre, comme le représentant de toute notre famille, l’avant-garde de l’armée qui doit chasser le démon de ses derniers retranchements et arborer le signe du Salut, la Croix du Sauveur Jésus, dans des régions où le vrai Dieu ne fut jamais connu. Vous êtes sans cesse présent à mon esprit et bien avant dans mon cœur. Comment voudriez-vous que je vous oubliasse vous que j’ai choisi parmi tant d’autres pour cette grande mission. Je sens vos besoins comme s’ils pesaient sur moi aussi
Lettre au Père Pierre Aubert à St Boniface, Canada, 21 février 1846, EO I n 61
Gaston Carriere nous donne plus de détails :
« Le père Aubert fut alors nommé curé de la cathédrale de Saint-Boniface et vicaire général, postes qu’il allait détenir pendant cinq ans. Il se mit immédiatement à l’étude de la langue sauteuse…
Le père Aubert quitta l’Ouest en 1850 et, jusqu’en 1857, résida à l’évêché de Bytown (Ottawa), où il fut vicaire général de 1851 à 1856, supérieur de la maison de l’évêché de 1854 à 1857 et chapelain des Sœurs grises de la Croix (aujourd’hui les Sœurs de la Charité d’Ottawa) de 1855 à 1857. C’est à ce dernier titre qu’il travailla à la constitution de la communauté. Nommé supérieur de la maison Saint-Pierre-Apôtre de Montréal en 1857, le père Aubert agit en qualité de théologien de Mgr Ignace Bourget, évêque de Montréal, au troisième concile provincial, tenu à Québec en 1863…
Malade, il passa en France en 1865 et devint supérieur du sanctuaire de Notre-Dame de Lumières. Élu assistant du Supérieur général deux ans plus tard, il demeura à Paris jusqu’à sa mort. En tant qu’assistant, le père Aubert fut un conseiller prudent et l’intermédiaire entre le Supérieur général et les autorités canadiennes. Aucune décision importante n’était prise sans qu’il soit consulté. Il s’intéressa particulièrement aux œuvres des Oblats au Canada et à la question des zouaves pontificaux. En 1870, le père Aubert accompagna Mgr Guigues au concile du Vatican à titre de théologien. » (Gaston Carriere: https://www.omiworld.org/fr/lemma/aubert-joseph-pierre-blaise-fr/)
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JE VOUS SOUHAITE UN JOYEUX NOËL
Il y aura une pause dans ces réflexions jusqu’au 23 janvier.
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