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DIEU EST GLORIFIÉ PAR LA RÉALISATION DU CHEMIN DE FER
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LE SOUCI D’EUGÈNE POUR LE BIEN-ÊTRE DE SA VILLE
Marseille avait la réputation de ne pas être particulièrement favorable au roi Louis Philippe, et des protestations occasionnelles contre lui éclataient. Le roi avait donc décidé que la ligne de chemin de fer proposée n’irait pas jusqu’à Marseille. Eugène lui écrivit pour lui faire prendre conscience des conséquences sur sa popularité de cette décision. Il note dans son journal en 1842:
Que je serais heureux si mes observations portaient le roi à modifier un projet si funeste pour notre ville! Personne ne se douterait d’où vient ce bienfait et ce serait l’évêque dont la sollicitude doit s’étendre à tout, qui l’aurait procuré à son peuple. Les ingrats en profiteraient comme les autres.
Journal d’Eugène de Mazenod, 21 avril 1842, EO XXI
Le roi cède à cette pression et le chemin de fer de Lyon à Marseille est construit et inauguré en janvier 1848.
RÉFLEXION
« Ce pays ne sera un bon endroit où vivre pour aucun d’entre nous si nous n’en faisons pas un bon endroit où vivre pour tous. » (Theodore Roosevelt)
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VRAIMENT IL Y A DE QUOI PLEURER DE JOIE DE POSSEDER DES HOMMES DE CETTE TREMPE DANS NOTRE CONGREGATION
Eugène s’était toujours considéré comme le père de sa famille missionnaire. Il était le fondateur, et le supérieur général dont le rôle était plus qu’administratif.
Il devait maintenir les liens et l’esprit de famille. Eugène était le père qui aimait chacun de ses fils missionnaires et qui se réjouissait de leur relation mutuelle. C’est ce qui ressort de l’écriture de son journal :
Ordination de nos trois diacres: Bernard, Gaudet, Keating . Je les avais ordonnés diacres, samedi 18, je les ai faits prêtres aujourd’hui. Oh! qu’ils se sont montrés dignes de cette faveur ces trois religieux prêts à partir l’un pour l’île de Ceylan, les deux autres pour le Canada, dans des sentiments vraiment dignes de leur vocation. Je ne sais lequel des trois admirer le plus?
Le p. Keating est plus froid et plus timide, mais les pères Bernard et Gaudet m’ont exprimé les tendres sentiments de leurs coeurs dans une effusion et un abandon vraiment filial et certes je ne suis pas demeuré insensible à ces témoignages si touchants de leur affection. Jamais fils, se séparant de son père, ne lui a témoigné plus d’amour. Le p. Gaudet part demain. Il a voulu me laisser par écrit les sentiments qui l’animent… Déjà il m’avait écrit une lettre parfaite pour me manifester le désir qu’il avait de ne pas être oublié dans le choix que je devais faire des sujets pour le Canada, pour ce pays infesté par le typhus qui au su de tout le monde a déjà enlevé plus de douze prêtres et déjà atteint quatre des nôtres. Aujourd’hui c’est pour me remercier d’avoir exaucé sa prière.
Vraiment il y a de quoi pleurer de joie de posséder des hommes de cette trempe dans notre congrégation..
Journal d’Eugène de Mazenod, 24 septembre 1847, EO XXI
RÉFLEXION
« L’amour de Dieu pour les hommes. Je dis que c’est ce sentiment que je connais venir de Celui qui est la source de toute charité, qui a provoqué dans les cœurs de mes enfants cette réciprocité d’amour qui forme le caractère distinctif de notre bien-aimée famille. » (Eugène de Mazenod au P. Mouchette, 2 décembre 1854, EO XI n 1256.)
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ACTE DE NOMINATION COMME SUPERIEUR DE LA MISSION DE CEYLAN
Charles Joseph Eugène de Mazenod
par la miséricorde divine et la grâce du S. Siège Apostolique Évêque de Marseille,
Commandeur de la Sainte Religion et Ordre Militaire des Saints Maurice et Lazare,
Supérieur Général
de la Congrégation des Oblats de la Très Sainte et Immaculée Vierge Marie.
A notre Fils aimé dans le Christ Étienne Semeria, Prêtre de la même Congrégation,
Salut et Bénédiction dans le Seigneur
Monseigneur Bettachini, évêque de Toron in partibus infidelium et coadjuteur du Vicaire Apostolique dans l’île de Ceylan, nous ayant très instamment demandé de lui adjoindre quelques-uns de nos missionnaires comme compagnons de voyage et associés à ses travaux. Nous, à qui est confié le gouvernement de toute la Congrégation, considérant moins notre pénurie de sujets que le bon plaisir divin, les membres de notre Congrégation semblant être appelés à oeuvrer dans cette partie de la vigne du Père de Famille, avons décidé d’y envoyer des ouvriers évangéliques pour y travailler. Ceux-ci, s’emploieront donc diligemment, sous la juridiction du Révérendissime Coadjuteur, pour la plus grande gloire de Dieu et le salut des âmes, à stimuler la piété des catholiques, à restaurer la foi parmi les hérétiques, et surtout à arracher les malheureux infidèles des ténèbres et de l’ombre de la mort.
Étant donné la distance qui nous séparera et les difficultés assez grandes qui pourraient surgir dans la suite, nous songeons choisir parmi les membres de notre Congrégation et instituer avec facultés extraordinaires comme chef de cette grande entreprise et guide de cette excellente mission, le dit Étienne Semeria, homme que la prudence et une oblation prolongée ont mûri, recommandable pour son zèle et sa piété, enfin d’un attachement inviolable envers Nous et la Famille.
Le document se poursuit par une énumération des pouvoirs administratifs qui lui ont été confiés dans cette nouvelle mission oblate, où il devait être l' »alter-ego » du fondateur. Il conclut:
Maintenant, allez, fils aimé, à l’œuvre qui vous est confiée ainsi que ceux que nous avons choisis pour être vos associés jusque dans ces régions extrêmes de l’Asie, pour la plus grande gloire de Dieu, à promouvoir là et en tout lieu.
Que la Très Sainte et Immaculée Vierge Marie notre prévoyante Mère vous garde assidûment sous sa protection. Que les anges de Dieu vous assistent; et quant à Nous, fils aimé dans le Christ, nous ne cesserons pas d’implorer pour vous une abondante pluie céleste.
Donné à Marseille… le 21 octobre 1847.
+ C. J. Eugène, évêque de Marseille, Supérieur Général.
Le père Semeria a reçu son obédience et a ensuite émargé pour un voyage de 37 jours, où il est arrivé à Ceylan en compagnie des pères Louis Marie Keating d’Irlande, Joseph Alexandre Ciamin de Nice et du frère Gaspard De Stefanis de Gênes
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PARMI CES BONS SUJETS J’AI VRAIMENT CHOISI LE MEILLEUR
L’approbation du Vatican était nécessaire pour cette nouvelle mission, ce que le cardinal Fransoni a accordé. En lui répondant, Eugène a décrit les qualités du père Semeria.
Mon souci, pour correspondre aux vues de la Sacrée Congrégation, a été de choisir de très bons sujets. Cela ne m’a pas été difficile puisque nos Oblats de la Très Sainte Marie Immaculée sont, par la grâce de Dieu, tous bons, tous prêts à sacrifier leur vie pour glorifier Dieu et travailler à la conversion et à la sanctification des âmes; tel est précisément le but de leur vocation. Parmi ces bons sujets j’ai vraiment choisi le meilleur, le p. Étienne Semeria. Il n’est pas très avancé en âge, n’ayant que 34 ans, mais il possède la maturité en ce qui concerne les vertus et toutes les qualités religieuses. Depuis plusieurs années il remplissait les fonctions de supérieur des missions de Corse. C’est incroyable avec quel succès, avec quelles bénédictions de Dieu même les bandits venaient se jeter à ses pieds, et prodigieuses sont les réconciliations que son zèle et sa bonté obtenaient dans ce pays que chacun connaît. Lorsque l’Évêque apprendra le vol que je suis en train de lui faire, je ne sais pas s’il me le pardonnera. Mais la Congrégation prête ses sujets, elle ne les donne pas. Il est très important de mettre à la tête de cette première petite communauté un reli¬gieux tel que le p. Semeria.
Lettre au cardinal Fransoni, préfet de la S. Cong. de la Propagande, 25 septembre 1847, EO 5 n 6
RÉFLEXION
Étienne Semeria était un bon choix et devait finalement devenir évêque de Jaffna. (Voir : https://www.omiworld.org/fr/lemma/semeria-mgr-etienne-fr/)
« Un vrai leader a la confiance nécessaire pour rester seul, le courage de prendre des décisions difficiles et la compassion nécessaire pour écouter les besoins des autres. Il ne cherche pas à être un leader, mais le devient par l’égalité de ses actions et l’intégrité de son intention. » (Douglas MacArthur)
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C’EST UNE MISSION INFINIMENT DÉLICATE POUR PLUSIEURS RAISONS
‘‘Que l’Evêque de Marseille ait, en l’occurrence, une fois de plus et d’un regard très sûr, largement dépassé les possibilités du présent pour embrasser les réalisations de l’avenir, on ne saurait le mettre en doute, écrit Mgr Leflon. Mais qu’il se soit exactement rendu compte de la situation singulière etcomplexe qui déconcerterait ses fils et le déconcerterait lui-même, en ce pays bientôt qualifié d’étrange par le premier supérieur de Ceylan, il ne le semble pas…».”
Devant les difficultés attendues, le père Semeria a été choisi comme supérieur des quatre Oblats destinés à Ceylan. Il était le très respecté recteur du grand séminaire d’Ajaccio, et son départ fut un coup dur pour l’évêque. Eugène lui a écrit pour justifier son choix :
« C’est une mission infiniment délicate pour plusieurs raisons et il me fallait un homme éprouvé comme le père Semeria pour la lui confier en tout repos de mon âme. C’est le sacrifice que le bon Dieu a exigé de nous et j’ai dû le faire avec joie dans la ferme confiance du bien immense qui doit en résulter; la sacrée Congrégation de la Propagande appelle le secours qu’elle réclame de nous opportunissimo et necessario. J’ai tout lieu d’espérer que le p. Rolleri qui le remplacera à Vico fera du bien»
Lettre à Mgr Casanelli d’lstria, évêque d’Ajaccio, 7 octobre 1847, EO IV page XXIV
RÉFLEXION
« Si Jésus-Christ est Dieu et qu’il est mort pour moi, alors aucun sacrifice ne peut être trop grand pour que je le fasse pour lui. » (C.T. Studd)
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PAS D’ARGENT, PAS DE MISSION
Envoyer des Oblats dans les missions étrangères et les entretenir, surtout dans les régions rurales les plus pauvres, nécessitait des fonds. Chaque année, Monseigneur Eugène devait écrire à Rome et à la Propagation de la foi pour demander des subventions.
Messieurs,
Quelques-uns de nos missionnaires étant sur le point de partir pour les établissements que notre Congrégation des Oblats de Marie Immaculée a fondés dans l’Amérique septentrionale… Vers la même époque, doit avoir lieu le départ d’une autre colo¬nie composée de quatre de nos missionnaires que j’ai consenti à céder à Mgr Bettachini, coadjuteur du Vicaire Apostolique de Ceylan. Dans les quelques jours qu’il a passés à Marseille, et où j’ai eu plu¬sieurs entretiens avec lui, ce prélat m’a fait une telle peinture de l’état déplorable de la religion dans cette île que je n’ai pu lui refuser de venir à son secours, malgré les besoins d’autres missions étrangères confiées à notre Congrégation…
J’avoue que nous ne pouvons prétendre à une allocation considéra¬ble, vu les demandes que notre Congrégation vous a déjà faites, sur l’exercice courant, pour ses missions d’Amérique et d’Angleterre; aussi nous bornerons-nous au strict nécessaire pour ce qui est de notre établissement à Ceylan, c.-à-dire aux dépenses de voyage des missionnaires et aux premiers frais d’établissement et d’entretien, ce qui exige pour le moins la somme d’une douzaine de mille francs.
A Messieurs du Conseil central du Midi de l’Oeuvre de la Propagation de la foi, Lyon, 14 aout 1847, EO V, n106
Lorsqu’ils ont tardé à répondre, Eugène a craint de ne pas avoir l’argent nécessaire pour pouvoir envoyer les 4 missionnaires à Ceylan et de devoir annuler le projet.
Messieurs,
J’attendais avec une sorte d’anxiété votre réponse à ma lettre du 15 septembre passé. Je voyais en effet arriver le jour où il faudrait nécessairement décider la question du départ de nos missionnaires pour Ceylan, et je n’avais encore aucune assurance de trouver le moyen de les acheminer vers leur destination…
Jugez par là. Messieurs, de quel état péni¬ble m’a retiré la réception de votre lettre du 4 du courant, et de la traite de trois mille francs qui l’accompagnait.
À Messieurs du Conseil central du Midi, de l’Oeuvre de la Propagation de la foi, à Lyon 14 octobre 1847, EO V n 109
RÉFLEXION
« J’ai entendu des gens dire : « Je voudrais avoir plus de cœur pour les missions ». Je réponds toujours : « Jésus vous dit exactement comment l’obtenir. Mets ton argent dans les missions – et dans ton église et dans les pauvres – et ton cœur suivra. » (R. Alcorn)
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AYONS DONC COURAGE ET METTONS BIEN AVANT NOTRE CONFIANCE EN DIEU
Father Vincens was the Novice Master, preparing future Oblate missionaries. In the previous entry we saw Eugene’s letter to him announcing the acceptance of our first mission in Asia, which concludes with:
Monseigneur Bettachini est parti le cœur plein de joie et à moins que la Propagande n’y mette obstacle, ce qui j’espère n’arrivera pas, dès le mois prochain nos premiers missionnaires partiront avec l’Évêque pour jeter les fondements de ce grand établissement.
Ce départ n’empêchera pas celui des quatre missionnaires destinés pour l’Amérique, qui devront bientôt être suivis de plusieurs autres. Vous voyez qu’il nous faut du monde pour satisfaire à tous ces besoins.
Ayons donc courage et mettons bien avant notre confiance en Dieu. Le grand point sera toujours de former de bons sujets, ne négligez rien pour cela.
Lettre au Père Ambroise Vincens, 12 août 1847, EO X n 936
RÉFLEXION
« Je n’ai qu’une seule bougie de vie à brûler, et je préfère la brûler dans un pays rempli de ténèbres que dans un pays inondé de lumière. » (J. Falconer)
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CEYLAN: COMMENT RÉSISTER À TANT DE PRESSANTS MOTIFS POUR RÉPONDRE AVEC RECONNAISSANCE AUX INSTANCES DE COOPÉRER PUISSAMMENT À CE GRAND BIEN.
Eugène a écrit avec enthousiasme au père Vincens au sujet de sa conversation avec Monseigneur Bettachini de Ceylan (aujourd’hui le Sri Lanka).
Voici une magnifique mission qui se présente à nous. Mgr le Coadjuteur du Vicaire apostolique de l’île de Ceyian vient de passer deux jours auprès de moi. Nos entretiens se prolongèrent jusqu’après onze heures du soir.
Quel champ s’ouvre devant nous! Un million cinq cent mille gentils à convertir dans le plus beau pays du monde, cent cinquante mille chrétiens à instruire. Toute cette immense population disposée par la bonté de son caractère et par un certain attrait de religiosité à écouter avec docilité la voix des envoyés de Dieu qui lui annonceront la bonne nouvelle.
D’autre part, l’hérésie à prévenir à présent même qu’elle voudrait faire de ces belles contrées le centre de ses opérations.
Après avoir donné toutes ces raisons d’accepter la nouvelle mission, Eugène poursuit :
Comment résister à tant de pressants motifs pour répondre avec reconnaissance aux instances de coopérer puissamment à ce grand bien. J’ai donc accepté cette nouvelle mission, une des plus belles qui existent sur la terre. Dans la prévoyance que cette grande île deviendra un jour l’apanage de notre Congrégation qui la sanctifiera tout entière.
Lettre au Père Ambroise Vincens, 12 août 1847, EO X n 936
RÉFLEXION
« Le zèle missionnaire ne naît pas de croyances intellectuelles, ni d’arguments théologiques, mais de l’amour. » (Roland Allen)
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SON CŒUR EST GRANDE-COMME CELUI DE SAINT PAUL: GRANDE COMME LE MONDE
Mgr Horace Bettachini, coadjuteur du Vicaire apostolique de Colombo, vint en Europe en 1845 afin d’y chercher un renfort de missionnaires. Il n’obtint qu’un sujet de sa Congrégation de l’Oratoire et un Bénédictin Sylvestrine. En vain il parcourut-t’il le reste de l’Europe, suppliant partout. Toutes les portes se fermaient devant lui. Dans sa détresse, il rencontra Mgr Berteaud, l’évêque de Tulle, qui lui dit : “ Allez donc à Marseille. Il y a là un Évêque dont la Congrégation est encore petite, mais dont le cœur est grande-comme celui de Saint Paul: grande comme le monde. Allez et faites bien valoir a ses yeux qu’il s’agit de sauver des pauvres âmes, pauvres, bien pauvres:insistez la-dessus. Ce sera le mot irresistible.” Yvon Beaudoin in EO IV page XXIII
Monseigneur de Mazenod a répondu avec enthousiasme à cette demande.
Quel champ s’ouvre devant nous!
Lettre au Père Ambroise Vincens, 12 août 1847, EO X n 936
RÉFLEXION
« Mais comment peuvent-ils faire appel à celui en qui ils n’ont pas cru ? Et comment croiraient-ils en celui dont ils n’ont jamais entendu parler ? Et comment pourraient-ils l’entendre sans que quelqu’un l’annonce ? Et comment l’annoncer s’ils ne sont pas envoyés ? Comme il est écrit : « Qu’ils sont beaux les pieds de ceux qui portent la bonne nouvelle ! »
Lettre aux Romains 10:14-15.
« Ainsi, je me donne pour ambition d’annoncer l’Évangile, non pas là où le Christ a déjà été nommé, afin de ne pas construire sur les fondations d’un autre, mais comme il est écrit : « Ceux à qui on n’a jamais parlé de lui verront, et ceux qui n’en ont jamais entendu parler comprendront. »
Lettre aux Romains 15:20
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