5ÈME DIMANCHE DE CARÊME

Alors Jésus se mit à pleurer.
Les Juifs disaient : « Voyez comme il l’aimait ! » (Jn 35-36)

Jésus-Christ, notre unique modèle, ne nous a pas donné cet exemple. 
J’adore son frémissement et ses larmes sur le bord de la tombe de Lazare autant que je dédaigne et abhorre le stoïcisme, l’insensibilité et l’égoïsme de tous ceux qui voudraient, ce semble, dépasser ce prototype de toute perfection, qui a bien voulu sanctifier toutes les positions de notre triste pèlerinage.

Lettre au P. Tempier, 11 janvier 1831, EO VII n 380

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