SAINT EUGÈNE, FILS DE MARIE IMMACULÉE – DANS SES PROPRES MOTS

1819 : Le sanctuaire marial de Notre Dame du Laus est confié aux missionnaires en tant que lieu de mission permanente. Pendant la saison estivale, les Missionnaires accueillaient les pèlerins et leur prêchaient l’Evangile, alors que pendant les mois les plus froids, ils allaient vers les villages environnants pour prêcher des missions paroissiales. Ce sanctuaire a été le premier des 9 sanctuaires mariaux confiés aux Oblats en France pendant la vie d’Eugène.

J’invoque à cet effet l’intercession de la très sainte et immaculée vierge Marie, Mère de Dieu, osant lui rappeler en toute humilité, mais avec consolation, le dévouement filial de toute ma vie et le désir que j’ai toujours eu de la faire connaître et aimer et de propager son culte en tous lieux par le ministère de ceux que l’Eglise m’a donnés pour enfants et qui se sont associés à mes vœux.

Extrait du testament d’Eugène de Mazenod, le 1 aout 1854, E.O. XV n. 191

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1 réponse à SAINT EUGÈNE, FILS DE MARIE IMMACULÉE – DANS SES PROPRES MOTS

  1. Denyse Mostert dit :

    SAINT EUGÈNE, FILS DE MARIE IMMACULÉE – DANS SES PROPRES MOTS.

    En 1819, le sanctuaire marial de Notre Dame du Laus est confié aux missionnaires en tant que lieu de mission permanente. Ce sanctuaire a été le premier des neuf sanctuaires mariaux confiés aux Oblats en France pendant la vie d’Eugène.

    Nous pouvons nommer le Sanctuaire Notre-Dame-du-Cap, dans la province du Québec. Si des différences ont été apportées aux célébrations de jadis, l’essentiel est demeuré et les pèlerins y viennent encore – comme Eugène de Mazenod l’a fait avant eux – demander son intercession à « la très sainte et immaculée vierge Marie, Mère de Dieu ».

    Le testament d’Eugène , en aout 1854, résume bien ses dispositions et celles que nous devons adopter. Il rappelle « en toute humilité, mais avec consolation, le dévouement filial de toute (sa) vie et le désir… de la faire connaître et aimer et de propager son culte en tous lieux par le ministère de ceux que l’Eglise (lui) a donnés pour enfants et qui se sont associés à (ses) vœux. »

    Le programme semblerait ardu, presqu’impossible à réaliser parfois, sans la Miséricorde et la Force de Dieu qui ne cessent de nous accompagner.

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