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- « COMMENT » NOUS SOMMES APPELÉS À RÉPONDRE À L’APPEL DU SAUVEUR.
- UNE INVITATION À PERCEVOIR L’APPEL DE JÉSUS CHRIST DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE (C 1)
- L’APPEL DE JESUS CHRIST À L’ESPÉRANCE JOYEUSE (Constitution 1)
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Méta
RÉPONDRE À L’APPEL DE JÉSUS CHRIST SELON LES DIFFÉRENTS ÉTATS DE VIE, ENVIRONNEMENTS ET CULTURES (C1)
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« COMMENT » NOUS SOMMES APPELÉS À RÉPONDRE À L’APPEL DU SAUVEUR.
Notre Règle de vie commence par exprimer COMMENT nous faisons partie du charisme oblat :
C’est l’appel de Jésus Christ, perçu en Église à travers les besoins de salut des hommes, qui réunit les Missionnaires Oblats de Marie Immaculée. Il les invite à le suivre et à prendre part à sa mission par la parole et par l’action. (Constitution 1)
Il s’agit d’une reformulation de la vision originale de la mission d’Eugène, à savoir un groupe de disciples se réunissant pour s’efforcer d’imiter les vertus et les exemples de notre Sauveur Jésus-Christ, principalement en se consacrant à la prédication de la Parole de Dieu aux pauvres. (Règle de 1818). Il définit ce groupe comme les « coopérateurs du Sauveur ».
En parcourant les Constitutions et Règles, nous verrons le développement de ce « comment »
RÉFLEXION
Le pape François s’est adressé à la famille charismatique oblate en 2022 :
« Pèlerins d’espérance en communion ».
C’est un thème qui résume votre identité sur les routes du monde auquel, en tant que disciples de Jésus et disciples de votre fondateur saint Eugène de Mazenod, vous êtes appelés à porter l’Évangile de l’espérance, de la joie et de la paix. C’est un monde qui, bien qu’il semble avoir atteint des objectifs qui semblaient inatteignables, est toujours esclave de l’égoïsme et plein de contradictions et de divisions. Le cri de la terre et celui des pauvres, les guerres et les conflits qui ensanglantent l’histoire de l’humanité, la situation angoissante de millions de migrants et de réfugiés, une économie qui rend les riches de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres, sont quelques aspects d’un scénario où seul l’Évangile peut maintenir allumée la lumière de l’espérance.
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UNE INVITATION À PERCEVOIR L’APPEL DE JÉSUS CHRIST DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE (C 1)
C’est Jésus qui fait le premier pas en appelant chacun d’entre nous. Il nous invite à découvrir son appel en sa présence de bien des manières :
ils recherchent la présence du Seigneur dans le coeur des gens et les événements de la vie quotidienne, aussi bien que dans la Parole de Dieu, la prière et les sacrements. (Constitution 31)
L’appel que nous entendons à travers les membres du Corps du Christ, l’Église, est lié à notre expérience personnelle de l’appel. Nous nous souvenons qu’Eugène a pris conscience de sa vocation en voyant la souffrance de l’Église après la Révolution française et le besoin de salut des gens. Reconnaissant que Jésus l’appelait dans cette situation, il a répondu généreusement par sa vie.
Aujourd’hui, nous sommes invités à écouter son appel dans tout ce que nous faisons et vivons, et en particulier à travers notre Église qui souffre avec ses enfants dans tant de situations tragiques et horribles à travers le monde.
RÉFLEXION
Eleanor Rabnett, une laïque oblate canadienne, a admirablement saisi cela dans sa réflexion quotidienne sur « St Eugene Speaks » :
« L’appel de Jésus-Christ… nous conduit à faire partie de ce qui continue vers l’extérieur, permettant au Bien-Aimé de nous montrer le chemin à travers les autres, qui sont les fils et les filles d’Eugène. Comme le maître potier, nous nous laissons remodeler et former, et au lieu d’être envoyés au four où nous risquons de sécher et de devenir cassants, nous nous retrouvons à faire partie de l’argile de la vie, à ne faire qu’un avec les autres qui, comme nous, se sont offerts pour être façonnés, remodelés et renouvelés. C’est le bien-aimé, le maître-potier qui nous façonne et nous refaçonne constamment, puis ramasse de l’argile nouvelle et ajoute un peu d’eau pour étancher notre soif, tout cela afin de modeler ceux que nous accompagnerons de la même manière que nous recevons nous-mêmes d’autres membres de notre famille charismatique oblate.
(« L’appel de Jésus-Christ… » Combien nous sommes aimés et bénis…
https://www.eugenedemazenod.net/?p=5992#comments)
(Eleanor réfléchit chaque jour, depuis 2010, sur le quotidien « St. Eugene Speaks. » Ils sont tous disponibles sur le site web. Je souris toujours quand les gens me disent qu’ils préfèrent sa réflexion à la mienne – le plus souvent, je suis d’accord avec eux !)
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L’APPEL DE JESUS CHRIST À L’ESPÉRANCE JOYEUSE (Constitution 1)
L’appel de Jésus-Christ… (Constitution 1)
Ces premiers mots de la Règle de vie OMI évoquent un Jésus souriant qui regarde les gens et les invite à partager la source de sa sérénité et de sa joie : être des pèlerins de la joie en communion avec lui et les uns avec les autres.
C’est la bonne nouvelle que Jésus est venu proclamer aux pauvres – celle que l’ange avait annoncée : « Je vous annonce une bonne nouvelle, celle d’une grande joie qui sera pour tout le peuple » (Luc 2:10). Jésus l’a répété à ceux qu’il avait appelés : « Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous et que votre joie soit complète » (Jean 15:11).
La nuit précédant sa mort, il a répété à ses disciples : « Votre cœur se réjouira, et personne ne vous enlèvera votre joie » (Jean 16:22). Ensuite, il a inclus tous ceux d’entre nous qu’il a appelés : « Je parle ainsi dans le monde pour qu’ils partagent entièrement ma joie » (Jean 17:13).
L’appel de Jésus-Christ à partager la joie de Dieu était le bonheur qu’Eugène recherchait :
Je l’ai cherché le bonheur hors de Dieu et trop longtemps pour mon malheur.
Tout s’est mis en place pour lui lorsqu’il a fait l’expérience de l’amour de Dieu pour lui sur la Croix. Il a entendu l’appel de Jésus-Christ et y a répondu :
Quelle plus glorieuse occupation que de n’agir en tout et pour tout que pour Dieu, que de l’aimer par-dessus tout, que de l’aimer d’autant plus qu’on l’a aimé trop tard.
(Journal de retraite, décembre 1814 EO XV n 130)
Cette prise de conscience est la première étape de la vie du charisme de la Famille charismatique oblate. Arrêtons-nous un instant pour nous rappeler les nombreux moments où nous avons pris conscience que Jésus nous souriait – et où nous avons répondu à cet « appel de Jésus-Christ » dans notre vie quotidienne.
« Venez, crions de joie pour le Seigneur et acclamons notre » (Psaume 95:1).
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NOTRE RÈGLE EN TANT QUE VRAIS FRÈRES ET SOEURS DE LA FAMILLE OBLATE
En préparation du bicentenaire de l’approbation pontificale de notre Règle et de la reconnaissance officielle de notre charisme, rejoignez St Eugène (et moi) pour passer un peu de temps à explorer la Règle et son contenu.
« Saint Eugène nous parle » à travers la Règle de vie, et nous l’invitons donc à se joindre à notre pèlerinage en communion, en tant qu’instruments d’espérance.
Nos Constitutions et Règles actuelles commencent par un avant-propos. Aujourd’hui, conscients que le charisme oblat est vécu par de nombreuses vocations différentes, nous pouvons adapter le vocabulaire de son message (mais pas le charisme sous-jacent) à notre propre mode de vie.
Notre Seigneur Jésus Christ, quand vint la plénitude des temps, fut envoyé par le Père et rempli de l’Esprit «pour porter la bonne nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs la délivrance et aux aveugles le retour à la vue, rendre la liberté aux opprimés et proclamer une année de grâce du Seigneur» (Lc 4, 18-19). Il fit appel à des disciples pour qu’ils prennent part à sa mission et depuis lors, dans son Église, il ne cesse d’appeler des hommes à le suivre.
C’est cet appel qu’entendit saint Eugène de Mazenod. Brûlant d’amour pour le Christ et son Église, il fut bouleversé par l’état d’abandon du peuple de Dieu. Il voulut être « le serviteur et le prêtre des pauvres» et leur sacrifier sa vie tout entière.
Devant l’immensité de la tâche, il réunit autour de lui quelques prêtres animés du même zèle ardent pour les plus délaissés. Il les entraîna à « vivre ensemble comme des frères» et à «imiter les vertus et les exemples de notre Sauveur Jésus Christ, principalement en s’employant à prêcher aux pauvres la Parole divine» . Il les incita ensuite à s’engager définitivement dans l’oeuvre des missions en se liant par les voeux de religion. Peu après, il accueillit aussi des Frères, comme de véritables fils, dans sa famille. Telles furent les origines de la Congrégation des Missionnaires Oblats de la Très Sainte et Immaculée Vierge Marie (CCRR Avant-Propos)
Chacun de nous est un véritable fils ou une véritable fille de la famille d’Eugène. Prenons le temps de réfléchir à ces mots et laissons-les faire la différence dans notre vie quotidienne….
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LA RÈGLE : UNE DESCRIPTION DE POSTE ET UN MANUEL
En contemplant sa famille religieuse, Eugène s’est souvenu de sa propre vocation. Il avait fait l’expérience du Christ crucifié comme son Sauveur et avait compris qu’il était appelé à être son collaborateur : à cheminer avec les autres dans leur quête de sens et de bonheur.
Dans la première règle de sa famille missionnaire, il nous a décrits ainsi :
Ils sont appelés à être les coopérateurs du Sauveur, les corédempteurs du genre humain.
(Règle 1818)
C’est une véritable « description de poste » ! Le jour de notre baptême, chacun d’entre nous a été « clamé par le Christ Sauveur ». En tant que chrétiens, cela fait partie de notre ADN d’être les collaborateurs de celui auquel nous appartenons. Dans notre vie quotidienne, nous sommes invités à voir dans chaque personne et chaque événement, l’invitation à être les collaborateurs du Sauveur. Nous ne sommes pas appelés à l’héroïsme, mais à réaliser que dans un simple sourire, une main secourable, un mot d’encouragement ou d’excuse, nous sommes des collaborateurs.
Sainte Thérèse d’Avila l’a compris lorsqu’elle a écrit :
« Le Christ n’a pas d’autre corps que le tien,
Pas d’autres mains, pas d’autres pieds sur terre que les tiens,
Tes yeux sont ceux avec lesquels il regarde
Compassion sur ce monde,
Tu es le pied avec lequel il marche pour faire le bien,
Tes mains sont celles avec lesquelles il bénit le monde entier… »
Comme nous le découvrirons, en explorant le livre des Constitutions et Règles, qu’il est notre manuel sur la façon d’atteindre cet idéal.
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LA RÈGLE EN TANT QU’ENSEIGNANT QUI NOUS CONDUIT À EMBRASSER LA CROIX
Puis-je oublier la vue de la Croix un Vendredi Saint?
St Eugène de Mazenod
À la vue de la croix, Eugène a compris qu’il était pauvre et qu’il avait besoin du Sauveur. Ses années de « recherche du bonheur » ont enfin trouvé leur sens et leur but. Le reste de sa vie longue et mouvementée s’articule autour de la vue de la croix et de son travail pour amener tout le monde à la même vision salvatrice.
La Règle oblate devient un maître qui conduit chaque membre de notre famille charismatique à embrasser la croix et le salut qu’elle offre. Celui qui l’embrasse embrasse automatiquement le Sauveur. Nous la portons fièrement et elle nous incite à nous transformer en ce signe et moyen de salut pour les autres.
Chaque fois que je regarde ma croix d’oblat, je me souviens de la statue de Jésus, dont les bras ont été arrachés pendant la guerre et n’ont jamais été remplacés, et qui porte une plaque avec le message : « Je n’ai d’autres bras que les tiens »
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LA REGLE EXPRIME L’EXPERIENCE D’EUGENE DE NOTRE SAUVEUR CRUCIFIE
La vie d’Eugène a changé au pied de la Croix lorsqu’il a réalisé qu’il était pauvre et qu’il avait besoin du Sauveur. Il a ensuite pris conscience de la pauvreté des gens en France, et plus tard dans le monde entier, parce qu’ils ne connaissaient pas Jésus-Christ comme leur Sauveur et leur compagnon sur le chemin de la vie. C’est pour cette raison que Dieu l’a appelé à devenir prêtre, puis à inviter d’autres personnes à se joindre à lui dans ce qui allait devenir sa famille oblate.Le tout premier article de la toute première Règle (1818) reflète le cheminement d’Eugène :
Article 1.a La fin de l’Institut des Missionnaires dits de Provence
est premièrement de former une réunion de prêtres séculiers qui vivent ensemble
et qui s’efforcent d’imiter les vertus et les exemples de notre Sauveur Jésus-Christ, principalement en (Règle 1818)
C’est en imitant notre Sauveur Jésus-Christ dans sa prédication de l’Évangile aux pauvres que nous trouvons la raison d’être de notre famille charismatique oblate. Chacun de nous, à sa manière spécifique, est appelé à partager son expérience de la présence du Sauveur dans la pauvreté de son cœur. Par le témoignage de notre vie, nous sommes des « prédicateurs » de la bonne nouvelle à ceux qui ont besoin de Lui.
En 1826, l’Église a officiellement reconnu que dans nos Constitutions et Règles, nous trouvons les moyens de le faire.
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LA RÈGLE OBLATE EST UN SANCTUAIRE QUI MAINTIENT VIVANT NOTRE IDÉAL DE PRÊCHER LA BONNE NOUVELLE AUX PAUVRES
Lorsque Jésus a commencé son ministère public, il a annoncé : « L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a consacré par l’onction pour porter la Bonne Nouvelle aux pauvres « (Luc 4, 18).
Un Vendredi saint, lorsque le jeune Eugène, qui n’avait pas de direction, a regardé la Croix, il s’est rendu compte qu’il était pauvre, qu’il était un pécheur qui s’était éloigné de Dieu :
Je l’ai cherché le bonheur hors de Dieu et trop longtemps pour mon malheur.
Combien de fois dans ma vie passée mon cœur déchiré, tourmenté, s’élançait-il vers son Dieu dont il s’était détourné! Puis-je oublier ces larmes amères que la vue de la Croix fit couler de mes yeux un Vendredi Saint. Ah! elles partaient du cœur, rien ne put en arrêter le cours, elles étaient trop abondantes pour qu’il me fût possible de les cacher à ceux qui comme moi assistaient à cette touchante cérémonie. J’étais en état de péché mortel et c’était précisément ce qui occasionnait ma douleur..
Il s’est rendu compte qu’il était pauvre et que Jésus lui avait apporté la bonne nouvelle du salut :
Heureux, mille fois heureux qu’il ait, ce bon Père, malgré mon indignité, déployé sur moi toute la richesse de ses miséricordes
Journal de retraite, décembre 1814, EO XV n.130
Il a commencé les Missionnaires Oblats en 1816 parce qu’il comprenait ce que signifiait être pauvre et avoir besoin de salut, et qu’il voulait apporter la Bonne Nouvelle aux pauvres qui ne connaissaient pas la miséricorde et l’amour de Dieu.
Nous pouvons donc dire que notre Règle oblate est un sanctuaire qui préserve cet idéal et nous aide à le vivre en tant que pécheurs rachetés : nous reconnaissons notre pauvreté et nous nous laissons transformer par l’amour et la miséricorde de Dieu.
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LA RÈGLE DES OBLATS COMME RAYON DE L’UNIQUE LUMIÈRE DU CHRIST
En mettant l’accent sur la Règle oblate en tant que reflet de l’Évangile, Vatican II nous rappelle que chaque figure fondatrice, et la famille charismatique qui l’entoure, reflète un aspect particulier de Jésus-Christ, qui s’exprime dans leur Règle :
[Ils] doivent tendre de tout leur effort à ce que, par eux, chaque jour de mieux en mieux, l’Église manifeste le Christ aux fidèles comme aux infidèles : soit dans sa contemplation sur la montagne, soit dans son annonce aux foules du Royaume de Dieu, soit encore quand il guérit les malades et les infirmes et convertit les pécheurs à une vie féconde, quand il bénit les enfants et répand sur tout ses bienfaits, accomplissant en tout cela, dans l’obéissance, la volonté du Père qui l’envoya (Lumen Gentium 46) .
Saint Jean-Paul II l’a décrite : « les différentes vocations sont comme les rayons de l’unique lumière du Christ ‘qui resplendit sur le visage de l’Église’ »” (Vita Consecrata 16).
Le rayon de lumière d’Eugène de Mazenod, et celui de la famille charismatique oblate, est Jésus-Christ comme Sauveur et Évangélisateur. Nous sommes les coopérateurs du Sauveur dans son aspect de prédication de l’Évangile aux plus abandonnés. C’est ce « rayon de lumière » qui est capturé dans nos Constitutions et Règles.
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