SAINT EUGÈNE, FONDATEUR D’UNE CONGRÉGATION RELIGIEUSE – DANS SES PROPRES MOTS

1er novembre 1818: La communauté de missionnaires devient une congrégation de prêtres religieux et de frères, qui font vœux de vivre les conseils évangéliques.

Il faut que l’on comprenne maintenant mieux que jamais la nécessité d’être parfait religieux pour être bon missionnaire. Il faut que l’on soit bien persuadé que le moyen le plus efficace d’opérer de grands fruits dans les âmes est la sainteté de la vie et la pratique fidèle de tous les devoirs de notre état

Ouverture du Chapitre général du 1850

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1 réponse à SAINT EUGÈNE, FONDATEUR D’UNE CONGRÉGATION RELIGIEUSE – DANS SES PROPRES MOTS

  1. Denyse Mostert dit :

    SAINT EUGÈNE, FONDATEUR D’UNE CONGRÉGATION RELIGIEUSE – DANS SES PROPRES MOTS…

    1er novembre 1818: La communauté de missionnaires devient une congrégation de prêtres religieux et de frères, qui font vœux de vivre les conseils évangéliques. (Frank Santucci)

    Les années ont passé sans enlever à Eugène de Mazenod sa compréhension du « bon missionnaire » telle qu’il l’a appréhendée depuis la révélation devant la Croix du Vendredi-Saint 1807. Voici ses mots à l’Ouverture du Chapitre général de 1850 : « Il faut que l’on soit bien persuadé que le moyen le plus efficace d’opérer de grands fruits dans les âmes est la sainteté de la vie et la pratique fidèle de tous les devoirs de notre état. »

    Il n’y a pas à sortir de là. Son « tout pour Dieu », Eugène a cherché à l’atteindre toute sa vie; et c’est l’attitude qu’il a désirée ardemment pour ses fils. Sans doute la chose leur est-elle apparue difficile, ainsi qu’il nous semble aujourd’hui encore à nous membre de la Famille mazenodienne.

    Pour nous aider à suivre ce chemin, nous avons l’exemple de notre Fondateur et de la foi qui lui a permis d’avancer. Souvenons-nous de sa décision de se consacrer une fois pour toutes au service du Seigneur dans son Église et les plus démunis des hommes. Si sa confiance a pu se révéler quelques fois menacée, pas question de le faire reculer car il avait claire conscience de l’aide de son Dieu-avec-lui. Lors de la canonisation de notre Fondateur il a été question de la résilience que nous souhaitons être capable de vivre à notre tour. « Pour la gloire de Dieu et le salut du monde », pourrions-nous ajouter.

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