EN JESUS CHRIST, NOTRE CENTRE COMMUN OÙ NOTRE COEUR DEVIENT UN.

La pratique d’orasion qui était important pour Saint Eugène est illustré dans ce beau texte.

Trouvons-nous ainsi souvent ensemble, en Jésus-Christ, notre centre commun en qui tous nos cœurs se confondent et toutes nos affections se perfectionnent.

Bien qu’il soit physiquement séparé de ses confrères Oblats, Saint Eugène pratiquait toujours la prière d’« oraison » – d’être uni avec eux dans la présence eucharistique de Jésus-Christ. Chaque jour quand il priait dans sa chapelle, il était uni à ses confrères, où qu’ils soient

Très chers, voilà mon bouquet de ce beau jour de fête.

Lettre à Jean Baptiste Mille et aux Pères et Frères à Billens, le 1 Novembre 1831, EO VIII n 406

Quelle belle tradition Saint Eugène nous a laissé! Nous pouvons être en contact avec nos êtres chers en présence de Jésus qui nous uni, malgré la distance géographique. C’est le vrai sens de « l’oraison » du Saint Eugène.

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Une réponse à EN JESUS CHRIST, NOTRE CENTRE COMMUN OÙ NOTRE COEUR DEVIENT UN.

  1. Denyse Mostert dit :

    Que peut-on trouver de mieux que de rencontrer ses amis dans la prière ? C’est ce qu’Eugène n’a cessé de recommander. La distance perd de son importance dès lors que nous désirons nous trouver en face du Seigneur.

    L’oraison peut devenir temps de douceur. Finis les remords pour les distractions qui, pensons-nous, viennent perturber un temps réservé à Dieu seul. Ce que nous appelions distraction devient alors prière. « Le cœur d’Eugène a-t-on dit est grand comme le monde ». Que dire alors de Celui dont l’amour infini connaît nos pensées et peut dispenser ses grâces comme Il l’entend ! L’oraison s’enrichit d’un élan de confiance.

    Notre prière deviendra alors adoration et désir ardent de faire « connaître et aimer » Jésus-Christ. Et, si certains passages de l’Évangile s’obstinent à meubler nos pensées, accordons-leur l’attention due au message divin qui nous est spécialement adressé.

    L’oraison, temps de foi, de silence et de pensées tournées vers Dieu. C’est le moment exceptionnel de refaire nos forces pour repartir à la Moisson qui nous attend.

    Petit détail. Les Laïques associés de Trois-Rivières ont pris l’habitude de placer autour de la table de réunion une chaise pour les personnes absentes. Leur présence devient alors vecteur pour les moments vécus ensemble en groupe.

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