LA VISION DE LA FONDATION AUJOURD’HUI : LA PREMIERE MOTIVATION POUR EVANGELISER EST L’AMOUR DE JESUS

La Congrégation est tout entière missionnaire. Son premier service dans l’Église est de faire connaître aux plus délaissés le Christ et son Royaume.

CC&RR, Constitution 5

Le pape François éclaire notre mission principale qui est de proclamer le Christ :

“La première motivation pour évangéliser est l’amour de Jésus que nous avons reçu, l’expérience d’être sauvés par lui qui nous pousse à l’aimer toujours plus. Mais, quel est cet amour qui ne ressent pas la nécessité de parler de l’être aimé, de le montrer, de le faire connaître ? Si nous ne ressentons pas l’intense désir de le communiquer, il est nécessaire de prendre le temps de lui demander dans la prière qu’il vienne nous séduire. Nous avons besoin d’implorer chaque jour, de demander sa grâce pour qu’il ouvre notre cœur froid et qu’il secoue notre vie tiède et superficielle. »[Evangelii Gaudium n. 264]

Dans la description du pape François, il est facile de reconnaitre la vie et l’intense experience missionnaire d’Eugène – et notre désir de faire la même chose.

Edm mission

« Une vie qui n’est pas partagée n’est pas vécue. Celui qui partage ne réduit pas sa vie, au contraire il l’augmente. »    Stephen Samuel Wise

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1 réponse à LA VISION DE LA FONDATION AUJOURD’HUI : LA PREMIERE MOTIVATION POUR EVANGELISER EST L’AMOUR DE JESUS

  1. Denyse Mostert dit :

    Mission : faire connaître le Christ. Au début du siècle dernier, c’était ‘’clair comme de l’eau de roche’’, il fallait parler de religion à ceux qui n’en n’avaient aucune notion, ou qui l’avaient rejetée…

    Les missionnaires étaient des êtres à part, hautement considérés. On nous formait dès l’enfance. Outre l’imparable catéchisme, on faisait l’apologétique du don de soi qui le plus souvent prenait son sens dans un héroïsme pas tout à fait invitant… ou bien dirai-je au-dessus des moyens de la plupart d’entre nous !

    J’ai encore à l’esprit le groupe de Croisés dont je faisais partie. De la ferveur avec laquelle nous étions invités à « combattre » pour le Christ sur toile de fond des soldats du Moyen-Âge s’en allant pourfendre l’infidèle. Ce fut, je pense bien, mon initiation première à la vie missionnaire… Avec la conviction de me trouver sur le bon chemin, et l’assurance que cela pouvait apporter. Tout cela était bon en soi, mais…

    Mais l’Esprit Saint nous attendait au tournant ! Alors que les enseignements se sont doucement transformés pour laisser apparaître le Jésus des Évangiles « qui passait en faisant le bien » et nous apprenait que le proclamer, c’était en même parler d’un Père profondément miséricordieux. Finis les règlements de comptes tatillons ! Dieu nous aimait chacun personnellement. Nos manquements continuaient à nous attrister mais ne nous abattaient plus. Il y avait dans nos vies assez de bontés divines pour proclamer qu’après les larmes, peut venir un temps de joie.

    Montrer Jésus. Par la compassion, par nos comportements, par nos vies en accord avec nos paroles. Et, si la fatigue s’installe quelque jour en nous, il faut, comme le dit le pape François, « demander [la grâce divine] pour qu’il ouvre notre cœur froid et qu’il secoue notre vie tiède et superficielle. »

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