DÉSOLÉ

Nous avons un problème de traduction – il sera rectifie dans quelques jours

 

Ce contenu a été publié dans Uncategorized. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à DÉSOLÉ

  1. Denyse Mostert dit :

    Allez, courage Père Santucci !

    Il est certain qu’Eugène va nous manquer quelques jours. Au fond, c’est peut-être le temps de revisiter tant de choses que ses lettres nous ont fait connaître.

    Et de demander au Fondateur de ne pas laisser ceux qui pratiquent la si belle langue française privés de ses écrits au-delà des quelques jours dont vous parlez…

    Allez, courage Père Santucci… Nous sommes en communion avec vous…

  2. Denyse Mostert dit :

    Eugène de Mazenod se souvient.

    Il se souvient du Séminaire Saint-Sulpice là où le contact direct avec les jeunes abandonnés et les prisonniers de guerre renforce son désir de se consacrer aux plus démunis. Il se souvient d’Issy où il reçoit sa formation sacerdotale. Il se souvient des Sulpiciens expulsés par l’Empereur et du groupe de tout jeunes prêtres dont il fait partie qui va prendre en main pour quelque six mois les destinées du Séminaire.

    C’est pour offrir à ses missionnaires la même solide préparation, à la fois spirituelle, théorique et pratique, qu’Eugène de Mazenod adresse à l’Archevêque d’Aix une demande d’aide aux. raisons absolument inattaquables.

    Les futurs prêtres que nous formons, fait-il justement remarquer « seraient tous à la charge du diocèse dans quelque séminaire, s’ils n’étaient pas à la Mission… » Leur grande piété et leurs talents » permettent de voir en eux des sujets dont le diocèse n’aura qu’à se louer. Et enfin, le Fondateur lui-même se porte garant de la persévérance de ceux « pour qui [il] sollicite cette faveur ».

    Comment mettre en doute la pertinence d’une formation adéquate pour ceux qui vont consacrer leur vie à faire connaître à d’autres les beautés de l’évangile ?

    Aujourd’hui encore, nous retrouvons dans les Constitutions des Oblats de Marie Immaculée, le même souci d’une préparation à hauteur du ministère sacerdotal auquel les candidats se destinent. « Jésus a formé personnellement les disciples qu’il avait choisis… Ce même Esprit forme le Christ en ceux qui s’engagent sur les traces des Apôtres. Plus il leur fait pénétrer le mystère du Sauveur et de son Église, plus il les incite à se vouer à l’évangélisation des pauvres »

    Est-il nécessaire d’ajouter que chacun de nous se doit d’être centré sur le Christ ? Que des temps d’études, de réflexion, de ressourcement, de prière sont absolument nécessaire pour garder en nous le feu de l’Esprit qui va nous permettre de vivre à plein le charisme oblat ?

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *