LE BONHEUR DE MA DOUBLE PATERNITÉ

Eugène a écrit dans son journal personnel :

Ordination de notre excellent frère Bellon…
Nous ne saurions trop bien augurer du ministère de cet enfant de bénédiction, qui non seulement n’a jamais mérité le moindre reproche depuis qu’il est entré dans la congrégation, mais qui a constamment donné à tous ses confrères, soit dans le cours de son noviciat, soit pendant son oblationnat, l’exemple de la plus exacte régularité, de la fidélité à la règle, et d’une ferveur soutenue.
Nous étions en famille dans la chapelle de l’évêché, où j’ai fait l’ordination, et les sentiments qui animaient cette réunion de frères répondaient au bonheur que me faisait éprouver ma double paternité dans ce moment ineffable où par la communication du don de Dieu et la vertu du Saint-Esprit l’évêque enfante le prêtre.

Eugène de Mazenod, Journal, 25 mars 1837, EO XVIII

Le père des Oblats se réjouit de pouvoir, comme évêque, être l’instrument (« père ») du candidat sur qui on confère l’ordination sacerdotale.

Pour plus de détails sur la vie missionnaire du P. Charles Bellon, consultez https://www.omiworld.org/fr/lemma/bellon-charles-barthelemy-fr/

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LEURS ÂMES N’IMPORTENT, NI PLUS NI PEU PAR RAPPORT AUX PAUVRES PAYSANS, SI NOUS LES CONSIDÉRONS EN TERMES DE PRIX QUE LE SEIGNEUR A PAYÉ POUR EUX

Les Oblats avaient toujours l’habitude de rester proches des gens, surtout les plus pauvres et les plus abandonnés. À Aix-en-Provence, ceux-ci étaient ceux qui ne comprenaient pas le français, donc les Oblats prêchaient en provençal. Le P. Honorat a été intimidé par quelques riches paroissiens et il a violé cette règle. Eugène a écrit dans son journal :

Lettre du P. Honorat de la mission de Maussane. Elle commence sous d’aussi bons auspices que celle de Fontvieille. Les exercices sont tellement suivis que l’église se trouve trop petite quoiqu’il y fasse entrer au moins 200 personnes de plus qu’il n’en pouvait entrer auparavant. Le P. Honorat me dit que le curé a été enchanté que nos pères fissent les instructions en provençal, cependant avec son agrément et pour condescendre au désir de cinq ou six bourgeois qui réclament des discours en français, il s’est laissé aller à prêcher le soir alternativement dans les deux langues.
Je blâme on ne peut plus cette faiblesse ; jamais je n’ai consenti, quand je donnai des missions, à satisfaire cette sotte vanité de quelques bourgeois qui se trouvent dans tous les villages qu’on évangélise. C’est vouloir sacrifier l’instruction que retirerait le peuple des sermons dans l’idiome dont il parle. Il est reconnu qu’il ne peut pas suivre les raisonnements qu’on lui fait en français. Ce pauvre peuple n’entend que des mots qui ne se rattachent à aucune de ses idées quand on prêche en français. C’est une chose indubitable, l’expérience en est faite, et c’est aller directement contre la fin de notre institut que d’imiter l’exemple d’un trop grand nombre de prêtres qui se font illusion là-dessus.

Eugène de Mazenod Journal, 26 février 1837, EO XVIII

Il écrit au P. Honorat :

Je me mets peu en souci de cet infiniment petit nombre de bourgeois qui n’ont pas encore donné des signes de bonne volonté. Le plus grand nombre, sinon tous, se rendront comme les autres. Du reste, leurs âmes ne valent ni plus ni moins que celles des derniers manants, si on les considère du côté du prix que le Sauveur a bien voulu en donner…
Ainsi, c’est folie de s’inquiéter plus de ces messieurs que des autres bons habitants d’un pays.

Lettre à Jean Baptiste Honorat, 28 février 1837, EO IX n 606

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NOUS SOMMES LES MINISTRES DE LA MISÉRICORDE, DONC AYONS TOUJOURS UNE TENDRESSE DE PÈRE ENVERS TOUS

Parfois, quand nous rencontrons l’opposition, et même l’hostilité, dans notre manière de vivre et exprimer les valeurs évangéliques, nous sommes souvent portés de répondre d’une manière négative :

Nous sommes les ministres de sa miséricorde, ayons toujours et envers tous des entrailles de père ; oublions aussi facilement les outrages qui sont faits quelquefois à nos personnes dans l’exercice de notre ministère que le Bon Dieu veut bien oublier les offenses qu’on n’a cessé de lui faire. Le père de l’enfant prodigue ne se contenta pas de le revêtir de la robe, et de lui mettre l’anneau au doigt, mais il fit tuer le veau gras.
Ainsi nous, nous [ne] devons pas seulement réconcilier les pécheurs, mais à raison de tout ce qui leur est accordé de grâce pendant la mission et des garanties que présentent leur fidélité à y correspondre et les efforts qu’ils ont dû faire pour cela, nous les admettons au banquet sacré, nous leur donnons le pain de vie pour qu’ils puissent marcher dans la nouvelle voie qu’ils doivent suivre.…

Lettre à Bruno Guigues, 20 février 1837, EO IX n 605

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RAPPELEZ-VOUS QUE VOUS ÊTES ENVOYÉ VERS LES PÉCHEURS, ET QUE VOUS DEVRIEZ ATTENDRE LA RÉSISTANCE DE DIABLE

Hier, nous avons lu la réaction d’Eugène dans son journal personnel sur l’incident où le P. Guigues avait reçu une opposition de la part des jeunes. Aujourd’hui, nous lisons ce que Saint Eugène lui répond. Dans sa réponse, il réaffirme les attitudes requises de tous les membres de sa communauté religieuse.  

Je reçois à l’instant votre lettre du 15 et je laisse tout pour y répondre. Dieu vous préserve, mon cher ami, de refuser la communion à ceux qui, après s’être rendus coupables de l’espièglerie dont vous me parlez, sont venus à résipiscence. Vous avouez vous-même qu’il n’y avait chez eux que de l’entraînement et point du tout dessein hostile.
Oh ! vous êtes envoyés de Dieu pour pardonner de plus grands péchés que le leur et même de plus grands scandales que celui qu’ils ont pu donner par leur étourderie. Et dès lors que vous les aurez réconciliés, il est de votre devoir de les admettre à la sainte Table…
 Rappelez-vous que vous êtes envoyés vers les pécheurs, et même vers les pécheurs endurcis. Il faut bien s’attendre à une résistance de la part du démon ; il ne lâche pas sa proie volontiers. Tantôt cette résistance se manifeste d’une manière tantôt de l’autre. Jésus-Christ demeure vainqueur, Christus vincit. Il commande les sacrifices, Christus imperat. Il établit son règne dans les âmes, Christus régnât. C’est tout ce que nous souhaitons, c’est le fruit et la récompense de nos travaux.

Lettre à Bruno Guigues, 20 février 1837, EO IX n 605

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LES PÉCHEURS DOIVENT ÊTRE ACCUEILLIS AVEC UN TRÈS BON CŒUR

Lettre du P. Guigues. La mission de Theys qu’il donne en ce moment, avec ses compagnons de la maison de N.-D. de l’Osier, va à merveille. Les missionnaires sont au confessionnal du matin au soir.
Ils ont bien eu le désagrément de voir quelques familles bourgeoises, très mal disposées, se livrer au scandale d’une espèce de charivari provocateur, mais l’indignation publique et le silence des missionnaires en ont fait justice… et que plusieurs des jeunes gens qui s’étaient laissé entraîner se sont présentés pour se confesser.
Sur ce, le p. Guigues me demande s’il ne serait pas à propos de ne point accorder la communion à ces jeunes gens qu’il avoue s’être laissés aller à cette inconvenance par entraînement et point du tout par dessein hostile.
… Dieu veut que cette malheureuse pensée, due à l’inexpérience, n’ait pas porté les jeunes missionnaires à recevoir froidement ces pécheurs, qu’il aurait fallu accueillir avec la plus touchante bonté, d’abord pour qu’ils fussent consolés dans leur démarche toujours pénible à la nature, puis pour qu’ils fussent à même d’encourager les autres qui hésitent encore.  

Eugène de Mazenod, Journal, 19 février 1837, EO XVIII

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ILS PARTAIENT DU PIED DE L’AUTEL POUR DE NOUVELLES CONQUETTES

Anniversaire de l’approbation de l’institut par le Saint-Siège… Le renouvellement prescrit par le chapitre s’est fait immédiatement après, en ma présence, par tous les prêtres et oblats. Les novices assistaient à la cérémonie…
A mesure qu’on a fait son renouvellement à genoux devant le saint sacrement exposé en tenant un cierge à la main, on se tient debout et en cercle autour de l’autel.

Depuis notre approbation par le Pape, le 17 février 1826, les Oblats ont toujours fait le renouvellement de leurs vœux en cette date.

La cérémonie n’a pas été ce matin seulement imposante comme elle l’est toujours, mais touchante, je pourrais ajouter encore comme elle l’est toujours. C’est le sentiment qu’on se communiquait mutuellement lorsqu’on s’est trouvé réunis dans la salle de communauté.

C’était à Jésus Sauveur que les missionnaires et leurs coopérateurs offrent ses louanges pour le succès de leurs missions et pour demander la bénédiction pour leurs projets avenir.

Ce qu’il y avait de particulier et que je n’ai pu m’empêcher de faire remarquer dans le petit discours que je suis dans l’habitude de faire à pareil jour, c’est que du pied de l’autel allaient partir pour de nouvelles conquêtes ceux-là mêmes qui étaient venus y déposer leurs actions de grâces pour les admirables succès des missions qu’ils venaient de faire. Quelles bénédictions en effet n’avaient-ils pas recueillies dans les missions qui viennent de se terminer à Fontvieille et à Entraigues! Le Seigneur accompagnera ses envoyés à Maussane et à Mane, et il bénira leurs travaux comme il a toujours béni tous ceux que nous avons entrepris en son nom.

Eugène de Mazenod, Journal, 17 février 1837, EO XVIII

Nous sommes invités, chaque jour, à confier notre succès au Sauveur et à renouveler notre confiance dans sa présence pour nous accompagner dans nos moments difficiles.

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LES ORPHELINS SONT ACCUEILLIS AVEC CHARITÉ ET AVEC CONFIANCE À LA DIVINE  PROVIDENCE

À la fin de chaque journée, Eugène écrivait son journal et enregistrait les évènements de la journée et ses réactions personnelles. Aujourd’hui, il rend grâce pour le projet de l’orphelinat qu’il a initié avec son cousin pour les orphelins de l’épidémie récente du choléra.

Quoique je ne sois pas encore bien rétabli, je n’ai pu me refuser aux instances que l’on m’a faites pour aller bénir la chapelle provisoire et la maison des orphelines du choléra. Cette cérémonie s’est fort bien passée. Après la bénédiction de la chapelle et avant de commencer le saint sacrifice, je me suis contenté d’adresser à la nombreuse assemblée quelques paroles pour m’excuser de n’avoir pas encore la force de parler. Ce peu de mots a été accueilli avec une sorte de reconnaissance précisément à raison des efforts que j’avais dû faire pour exprimer les sentiments qui m’animaient. C’était merveille en effet de se trouver dans ce bel édifice, achevé après dix mois que nous étions venus bénir sur la roche escarpée la première pierre. L’œuvre avait commencé sous les auspices du premier pasteur, pour tendre la main à douze pauvres petites orphelines, et j’en voyais quatre-vingts sous mes yeux, et dans quelques jours vingt autres allaient être accueillies avec la même charité, et la même confiance en la divine providence ! Après la messe, nous avons parcouru processionnellement toute la maison en la bénissant

Eugène de Mazenod, Journal, 12 février 1837, EO XVIII.

      Le séjour d’Eugène à Marseille sera marqué par d’ innumérables activités comme celle-ci dans son objectif de répondre aux besoins des plus abandonnés.

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L’ONCTION QUI N’EST DONNEE QU’A CEUX QUI ANNONCENT JESUS-CHRIST ET JESUS-CHRIST CRUCIFIÉ

Eugene était un prédicateur talentueux et couronné de succès. La fondation des Missionnaires Oblats visait à prêcher l’Evangile aux plus abandonnés. Dans beaucoup de ses écrits, nous rencontrons des textes insistant sur le fait que les missionnaires prennent particulièrement soin de ce ministère de prédication et veillent à ce qu’il coule de la source de leur relation personnelle et communautaire avec Dieu.

Dans son journal intime, il commente régulièrement de manière critique certains des orateurs venus à Marseille comme prédicateurs itinérants pour des sermons occasionnels. Les normes de prédication d’Eugene étaient élevées et il n’avait pas de temps pour les platitudes parfois exprimées. 

Le soir, je suis allé entendre le sermon de m. Dufêtre à St-Martin. Il a prêché sur la religion un sermon qui n’avait rien de bien remarquable. On comprend à sa voix sonore et forte qu’il pourra suffire aux promesses qu’il a faites de prêcher deux fois par jour, même sans s’exposer à sacrifier sa vie comme il a annoncé qu’il était disposé de faire pour les bons Marseillais, qu’il faut maintenant s’accoutumer à entendre flagorner par tous les prédicateurs qui montent en chaire à Marseille. 

Journal d’Eugène de Mazenod, 12 février 1837, EO XVIII

Une semaine plus tard, un commentaire sur un autre prédicateur itinérant:

Je suis allé au sermon de m. Clerc à St-Cannat. Son discours sur le respect humain, plus philosophique que chrétien, n’a pas pu être compris par son auditoire composé de bonnes femmes et d’un petit nombre d’hommes sans instruction. Dieu préserve que tous les prédicateurs prêchassent de la sorte. Ce n’est pas le talent qui manque à celui-ci, ni la logique, mais l’onction qui n’est donnée qu’à ceux qui annoncent Jésus-Christ et hunc crucifixum d’une autre manière que des rhéteurs l’auraient fait à Rome païenne ou à Athènes.

Journal d’Eugène de Mazenod, 19 février 1837, EO XVIII

Que disent les gens de notre prédication et de nos œuvres de charité : nous voient-ils dire et faire des choses à travers les yeux du Sauveur crucifié?

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ORAISON : EN PRIÈRE AVEC LA FAMILLE MAZENODIENNE – JANVIER

1818“Dans la prière silencieuse et prolongée de chaque jour, ils se laissent modeler par le Seigneur et trouvent en lui l’inspiration de leur conduite.” (Règle de vie OMI, 33).

La pratique de l’Oraison prenait une part importante dans les prières quotidiennes de Saint-Eugène. C’est par elles qu’il entrait en communion avec sa famille missionnaire. Alors qu’ils étaient tous en France à cette époque, il était facile pour eux de se rassembler en prière à peu près au même moment. Dès lors que les missionnaires Oblats commencèrent à se disperser sur différents continents, il ne fut plus possible de prier ensemble au même moment. Il y eut alors un moment de prière où ils devaient s’arrêter et entrer en union de prière les uns avec les autres, même si ce n’était pas au même instant.

C’était une pratique qu’Eugène voulait maintenir pour l’ensemble des membres de sa communauté religieuse. C’est pour cela que vous êtes invités à prendre part à cette pratique de l’Oraison le Dimanche 19 janvier 2020, date à laquelle nous nous rappelons l’anniversaire de la Fondation des Oblats (qui portaient alors le nom de Missionnaires de Provence) le 25 janvier.

Le premier jour de vie de communauté des Missionnaires, représente évidemment, une histoire de première importance, souvent reprise dans tous ses détails. Dans ses Mémoires, le P. Tempier le décrit ainsi : «Ce jour mémorable que je n’oublierai jamais aussi longtemps que je vivrai.» Il raconte l’histoire des débuts de cette famille religieuse et, en conclusion, nous rappelle les vœux de pauvreté et l’appel à la simplicité.


Lettre à Jean-Baptiste Mille et aux novices et scolastiques, le 24 janvier 1831, E.O. VIII n.383: 

Je célèbre demain l’anniversaire du jour où, il y a seize ans, je quittais la maison maternelle pour aller m’établir à la mission. Le P. Tempier en avait pris possession quelques jours avant. Notre gîte n’était pas si magnifique que le château de Billens, et quelque dépourvus que vous soyez, nous l’étions encore davantage. Mon lit de sangle fut placé dans le petit passage qui conduit à la bibliothèque qui était alors une grande chambre servant de chambre à coucher au P. Tempier et à un autre qu’on ne nomme plus parmi nous; c’était aussi notre salle de communauté. Une lampe formait tout notre bel éclairage et, quand il fallait se coucher, on la posait sur le seuil de la porte pour qu’elle servît aux trois.
 
La table qui ornait notre réfectoire était une planche à côté d’une autre, posées sur deux vieux tonneaux. Nous n’avons jamais eu le bonheur d’être si pauvres depuis que nous avons fait vœu de l’être. Nous préludions, sans nous en douter, à l’état parfait où nous vivons si imparfaitement. Mais je remarque, à dessein, cette espèce de dénuement très volontaire puisqu’il eût été facile de le faire cesser en faisant transporter tout ce qu’il fallait de chez ma mère, pour en déduire que le bon Dieu nous dirigeait dès lors, et vraiment, sans que nous y pensassions encore, vers les conseils évangéliques dont nous devions plus tard faire profession. C’est en les pratiquant que nous en avons connu le prix.
 
Je vous assure que nous n’avions rien perdu de notre gaieté; au contraire, comme cette nouvelle manière de vivre formait un contraste assez frappant avec celle que nous venions de quitter, il nous arrivait souvent d’en rire de bien bon cœur. Je devais ce bon souvenir au saint anniversaire de notre premier jour de vie commune. Que je serais heureux de la continuer avec vous!

Voici quelques textes qui nous aideront dans nos réflexions et nos prières:

Actes 4:32-33:

La multitude de ceux qui avaient cru n’était qu’un cœur et qu’une âme. Nul ne disait que ses biens lui appartenaient en propre, mais tout était commun entre eux. Les apôtres rendaient avec beaucoup de force témoignage de la résurrection du Seigneur Jésus. Et une grande grâce reposait sur eux tous.

Matthieu 28: 19-20:

 Allez, faites de toutes les nations des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, et enseignez-leur à observer tout ce que je vous ai prescrit. Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde.

Article 3 –  Constitutions et Règles OMI  s’appliquant à toute la Famille Mazenodienne: 

La communauté des Apôtres avec Jésus est le modèle de leur vie; il avait réuni les Douze autour de lui pour en faire ses compagnons et ses envoyés (cf. Mc 3, 14). L’appel et la présence du Seigneur au milieu des Oblats aujourd’hui les unissent dans la charité et l’obéissance pour leur faire revivre l’unité des Apôtres avec lui, ainsi que leur mission commune dans son Esprit.

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BONNE ANNÉE

Ces réflexions quotidiennes reprendront le lundi 20 janvier

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