IL FAUT TOUJOURS QU’ILS METTENT LEUR SENTIMENT À LA PLACE DES ORDRES DES SUPÉRIEURS

J’ai reçu une lettre du p. … [ndlr : le nom n’est pas indiqué dans le texte].  dont je n’ai pas été content. L’obéissance est peu ou bien mal connue parmi nos Pères du Canada. Ils ne savent pas se soumettre sans murmurer, et il faut toujours qu’ils mettent leur sentiment à la place des ordres des supérieurs; c’est un bien mauvais genre, diamétralement opposé à l’esprit et à la lettre de nos Constitutions comme à l’essence même de l’esprit religieux.

Lettre à Mgr Bruno Guigues, 26 septembre 1848, EO I n 103

RÉFLEXION

Nos Constitutions et Règles OMI nous rappellent

 “En nos supérieurs, nous verrons un signe de notre unité dans le Christ et nous accepterons avec foi l’autorité qu’ils ont reçue. Nous appuierons loyalement les décisions prises et, avec esprit de coopération et d’initiative, nous consacrerons nos talents, nos activités, notre vie même, à notre mission apostolique dans l’Église.” (C 26)

Les Oblats ne sont pas les seuls à avoir un supérieur. Dans l’Église, nous sommes tous appelés à écouter ceux qui représentent notre unité dans le Christ Jésus.

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