QUAND ON EST SÛR DE SA CONSCIENCE ET QU’ON ACCOMPLIT SON DEVOIR, ON PEUT S’ÉLEVER AU-DESSUS DE TOUTES CES CRITIQUES.

Eugène écrit au Père Courtès, qui a été très affecté par certains ragots, pour l’implorer de ne pas s’en laisser perturber.

Un homme comme toi ne doit pas s’affecter à ce point des commérages que l’on doit mépriser. Quand on est fort de sa conscience et que l’on s’acquitte de son devoir, on se met au-dessus de tous les murmures de qui que ce soit.

Je t’en prie donc, regarde comme non avenu tout ce que peuvent dire ou penser ceux ou celles dont certainement tu ne fais pas assez de cas pour tenir à leur approbation. Je n’aurais jamais cru à une pareille aberration. Il faut s’attendre à tout de la pauvre humanité. Les injustices des hommes font d’ailleurs du bien en détachant des créatures.

Lettre au Père Hippolyte Courtès à Aix, 17 août 1845, EO X n 879

La critique, surtout si elle est injuste, est difficile à supporter – mais elle est inévitable et peut être une invitation au détachement et à la croissance personnelle.

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