J’AI REMIS LA CHOSE ENTRE LES MAINS DE DIEU, NE VOULANT FAIRE QUE SA SAINTE VOLONTÉ. JE SUIS PARFAITEMENT EN REPOS

La proximité d’Eugène à Dieu était telle qu’il remettait ses principales décisions administratives entre les mains de Dieu. Cela apparaît clairement lorsqu’il écrit au père Guigues au sujet de sa nomination épiscopale à Bytown :

J’ai remis la chose entre les mains de Dieu, ne voulant faire que sa sainte volonté. Je suis parfaitement en repos; j’ai fait mon devoir dans toute cette affaire; Dieu le sait et toute la Congrégation pourra s’en convaincre quand elle en verra les résultats.

Quand il en sera temps vous aurez à prouver que nos Pères se sont trompés dans leurs appréhensions relatives à votre épiscopat, appréhensions inspirées par leur attachement pour la Congrégation et pour vous.

Je n’aurai qu’un regret, celui de ne pouvoir vous imposer les mains, mais 1500 lieues sont un obstacle insurmontable

Lettre au père Bruno Guigues au Canada, 24 janvier 1847, EO I n 80.

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