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LES RESPONSABILITÉS D’UN MEMBRE D’UNE ÉQUIPE DE FORMATION
Ne demandant aux autres que ce qu’il faisait lui-même, sa vie était pour les séminaristes et pour les Oblats une prédication continuelle. En classe, professeur instruit et consciencieux, à la chapelle et à la salle des exercices, modèle de piété, de ferveur, de régularité, il était dans sa chambre directeur bon, prudent, éclairé, sans faiblesse comme sans raideur; d’un extérieur toujours égal, sa figure inspirait la confiance comme sa parole faisait aimer la piété; sachant employer son temps avec un sage discernement et une pieuse avidité pour l’étude, il put acquérir cette profondeur de doctrine qui devait plus tard le faire rechercher et estimer au concile provincial d’Agen [en 1859] par de doctes et pieux prélats, en même temps qu’il se formait et se perfectionnait dans la connaissance de l’hébreu, de l’italien, de l’allemand, de l’anglais et de l’espagnol. Sa journée était merveilleusement ordonnée; il avait trouvé le moyen de faire beaucoup et de faire bien, d’allier une science profonde à une piété douce et aimable…»
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Le père Bellon fut appelé au grand séminaire de Marseille à l’automne 1843 pour y enseigner le dogme et être le directeur spirituel des scolastiques, dont le nombre augmentait chaque année. Le père Fabre écrit à ce sujet: «Il fallait choisir pour les diriger un père qui, à une science solide et profonde, joignît une piété douce et éclairée, un père qui pût instruire par sa parole et former par son exemple. Le rév[érend] père Bellon était digne entre tous du choix que nos supérieurs firent de lui; pendant les cinq années que lui fut confié cet emploi si difficile et si important, il sut se montrer toujours à la hauteur de ces délicates fonctions.