J’étais en état de péché mortel et c’était précisément ce qui occasionnait ma douleur.
Journal de retraite, décembre 1814, EO XV n.130
« Mais alors, comment aller plus en profondeur dans notre spiritualité salvatorienne ? Laissez-moi mentionner trois directions.
b) Ce genre de rencontre avec le Christ nous portera, comme saint Eugène, à pleurer nos péchés. Parfois nous les reconnaissons, mais trop souvent nous les traitons à la légère, plutôt que de pleurer et d’en être tristes et désespérés. Pour moi, cela ne signifie pas me culpabiliser mais reconnaître comment mes actions ou mes omissions contribuent à la misère des autres. J’ai besoin de m’accepter tel que je suis, avec mes dons et mes défauts, et essayer de mieux suivre le Christ. »
W. Steckling OMI, Information OMI n. 462, Rome février 2007