VENIR EN AIDE AUX PERSONNES MALADES ABANDONNÉES CHEZ ELLES

En réponse aux besoins des plus nécessiteux, l’évêque, Eugène, écrit dans son journal :

Circulaire pour annoncer l’établissement que je méditais depuis longtemps de former en faveur des domestiques du sexe féminin.

Son souci était aussi de venir en aide à ceux qui étaient malades et qui étaient trop pauvres pour recevoir des soins médicaux ou hospitaliers, ceux-ci souffrant chez eux, souvent jusqu’à la mort. Les religieuses qui reçurent ce ministère étaient infirmières et elles donnaient les soins aux malades à domicile:

J’y joins l’annonce d’un établissement de religieuses garde-malades  dont on a un si grand besoin à Marseille. J’ai tout lieu de croire que les deux fondations seront accueillies avec plaisir.

Journal d’Eugène de Mazenod, le 12 décembre 1840, EO XX

Les deux œuvres furent confiées aux Sœurs de l’Espérance de Bordeaux, branche de la Sainte-Famille fondée par le père Noailles.

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