ETRE CAPABLE DE DIRE : “SOYEZ MES IMITATEURS, COMME JE LE SUIS DU CHRIST”

Toujours  l’obligation de retracer Jésus Christ dans nos personnes. « On fera spécialement l’oraison sur les vertus théologales, sur les vertus de Notre Seigneur Jésus Christ, que  les membres de notre Société doivent vivement retracer en eux

Notes de retraite, octobre 1831, EO XV n. 163

Les vertus sont ces qualités qui donnent un sens à nos vies, qui nous donnent le «sel» et la «lumière», et nous aident à devenir «sel» et «lumière» pour les autres.

La deuxième lettre de Pierre clarifie ce qu’est une vertu : «Que la grâce et la paix vous soient offertes en abondance par la connaissance de Dieu et de Jésus notre Seigneur» (2 Pierre 1: 2). C’est la connaissance de Dieu. C’est regarder la vie, les qualités et les attitudes de Jésus – se laisser transformer par celui qui dit : «Viens, suis-moi» et «Vous êtes mes amis, si vous faites ce que je vous commande» (Jean 15, 14-15).

Ainsi, Paul est capable de dire « Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même de Christ » (I Corinthiens 11,1) – et c’est ce que veut dire Eugène quand il écrit que les vertus « devraient être évidentes dans la vie de nos membres. « 

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1 réponse à ETRE CAPABLE DE DIRE : “SOYEZ MES IMITATEURS, COMME JE LE SUIS DU CHRIST”

  1. Denyse Mostert dit :

    Tout commence par la connaissance. De Dieu, des hommes. et de la conscience que nous avons de Lui qui en est la source.

    J’ai grandi dans la vie comme dans ma façon de prier. Après une recherche intense des écrits et de ceux qui me parlaient de Dieu, j’ai enfin compris qu’Il faisait partie de ma vie, me guidait vers le geste d’amour et qu’en cas de faiblesse, il me proposait sa miséricorde. J’ai remercié pour ces témoins m’apportant la lumière.

    Les vertus “devraient être évidentes dans la vie de nos membres. “ écrit Eugène. Il faut alors la confiance de croire que si elle se fait parfois damer le pion par tant d’habitudes ancrées dans ma vie, le Christ nous offre la liberté de revenir vers Lui.
    Il m’est difficile de parler d’une prière désincarnée. C’est lorsque je Le prie ou que j’aide des gens qui souffrent que Dieu se dit le plus dans ma vie.

    Deux mots me reviennent souvent : confiance en l’amour inépuisable du Christ pour nous et désir de montrer combien son amour vient au secours de ceux qui le demandent. Une fois de plus, ils me font penser à l’amour décrit par Roublev dans l’icône de la Sainte Trinité : tout vient de Dieu, se donnant aux hommes et remontant vers le Tout qui en est la Source.

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