Visite pastorale aux Caillols . Les enfants des paroisses de St-Julien, de la Paume et des Olives s’y sont réunis. C’est pour moi une véritable consolation que d’instruire et de catéchiser ces bonnes âmes de la campagne…
J’ai toujours lieu d’être très satisfait de l’attention de ceux qui m’écoutent et de me féliciter de la méthode imprescriptible que je me suis imposée de parler au peuple son langage. On me racontait aujourd’hui que des paysans de ce village, en rendant compte de mon instruction, se disaient entre eux: c’est un plaisir de voir notre évêque parler notre langue…
Que je serais heureux si j’avais le génie d’arriver à leur coeur pour leur faire aimer le divin Maître que je leur prêche avec toute la simplicité que je puis atteindre!
Eugène de Mazenod, Le Journal, 14 Octobre 1838, EO XI
» QUE JE SERAIS HEUREUX SI J’AVAIS LE GÉNIE D’ARRIVER À LEUR COEUR POUR LEUR FAIRE AIMER LE DIVIN MAÎTRE ! »
Bien sûr voici un souhait digne d’Eugène de Mazenod, prêtre plein de zèle, fondateur des Oblats de Marie Immaculée, évêque de Marseille et canonisé en 1995 !
Dans Le Journal, 14 Octobre 1838 on retrouve des termes comme « paysans » et autres « bonnes âmes de la campagne ». Ne pas nous arrêter au péjoratif de ce mot mais voyons-y le désir de l’évêque de Marseille d’avant tout « faire connaître et aimer Jésus Christ.
Catéchiser : amener à Dieu. Ne voilà-t-il pas le but ultime du prêtre et de sa Congrégation ! N’est-ce pas le résultat que nous devons rechercher, nous les Associés décidés à vivre le charisme oblat ? Pour atteindre ce but, une seule solution : proposer la parole évangélique avec les mots de nos cœurs… Un accent que tous pourront reconnaître et aimer à leur tour…
QUE JE SERAIS HEUREUX SI J’AVAIS LE GÉNIE D’ARRIVER À LEUR COEUR POUR LEUR FAIRE AIMER LE DIVIN MAÎTRE !
Bien sûr voici un souhait digne d’Eugène de Mazenod, prêtre plein de zèle, fondateur des Oblats de Marie Immaculée, évêque de Marseille et canonisé en 1995 !
Dans Le Journal, 14 Octobre 1838 on retrouve des terme comme « paysans » et autres « bonnes âmes de la campagne ». Ne pas nous arrêter au péjoratif de ce mot mais voyons-y le désir de l’évêque de Marseille d’avant tout « faire connaître et aimer Jésus Christ.
Catéchiser : amener à Dieu. Ne voilà-t-il pas le but ultime du prêtre et de sa Congrégation ! N’est-ce pas le résultat que nous devons rechercher, nous les Associés décidés à vivre le charisme oblat ? Pour atteindre ce but, une seule solution : proposer la parole évangélique avec les mots de nos cœurs… Un accent que tous pourront reconnaître et aimer à leur tour…