IL Y A 200 ANS: NOTA BENE –  QUELLE FIN PLUS SUBLIME QUE CELLE DE LEUR INSTITUT!

Quelle fin plus sublime que celle de leur Institut!

Il réaffirme, avec des mots différents, les trois piliers fondateurs de notre vocation, qu’il avait décrits dans notre Premier article, et qui nous définissent.

NOTA BENE – A NOTER ! Leur instituteur, c’est Jésus Christ, le Fils de Dieu lui-même;

La congrégation a son origine dans l’appel de Jésus – il est le Fondateur. Chaque Missionnaire fait partie de ce corps parce qu’il est conscient de l’invitation personnelle venant de Jésus Christ.

NOTA BENE – A NOTER ! leurs premiers pères, les Apôtres.

Nous sommes appelés à former une communauté. Pas n’importe quelle communauté, mais une communauté qui suit l’exemple des apôtres. Et plus que de le suivre, il s’agit de s’insérer dans la communauté évangélique de Jésus, de ses apôtres et de ses premiers disciples. Il s’agit de perpétuer cette communauté.

NOTA BENE – A NOTER ! Ils sont appelés à être les coopérateurs du Sauveur, les corédempteurs du genre humain

Le troisième pilier est la mission : celle d’amener les gens à vivre la même expérience de salut que celle qu’ont vécu les Missionnaires. C’est alors que la définition courte du Missionnaire devient : « co-opérateur du Sauveur » – rien de moins qu’un co-rédempteur!

NOTA BENE. Quelle fin plus sublime que celle de leur Institut!

Chaque fois que je médite sur ces mots, j’en ai presque le souffle coupé. Si nous vivons cette réalité de façon convaincante, à quelle lumière missionnaire notre vocation nous appellera ! Si nous vivons vraiment ces mots dans leur plénitude, quelle différence ferons-nous dans le monde … NOTA BENE – A NOTER!

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1 réponse à IL Y A 200 ANS: NOTA BENE –  QUELLE FIN PLUS SUBLIME QUE CELLE DE LEUR INSTITUT!

  1. Denyse Mostert dit :

    Point par point, la NB de ce matin reprend ce qui a été médité hier concernant les Apôtres. . « Leur instituteur, c’est Jésus Christ, le Fils de Dieu lui-même; il sont appelés à être les coopérateurs du Sauveur, les co-rédempteurs du genre humain. »

    Nous pouvons en effet trouver sublime la mission des Missionnaires de Provence et de tous ceux qui se joindront à eux au cours du temps. Jésus a pour eux des paroles qui donnent à leur apostolat toutes ses lettres de noblesse : « Je ne vous appelle plus serviteurs, dira-t-il, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j’ai appris de mon Père. » (Jean 15.15)

    Avec un tel sauf-conduit, nous pouvons travailler sans crainte à « faire connaître et aimer » le Royaume de Dieu.

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