FAÇONS D’ÊTRE: CONTEMPLER LE MYSTÈRE AVEC MARIE

“Quant à Marie, elle conservait avec soin toutes ces choses, les méditant en son coeur.” Luc 2:19

C’est l’exemple de la relation chaleureuse de Marie avec Jésus et sa contemplation de ses « vertus et son exemple » qui serait le modèle pour le Missionnaire :

… la sainte Vierge, à laquelle ils feront tous profession d’avoir une dévotion spéciale et une grande tendresse.
Ils diront à cet effet chaque jour le chapelet.

Règle de 1818, Deuxième partie, Chapitre premier § 5 De la prière et des exercices de piété

Aujourd’hui :

C’est en union avec Marie Immaculée, fidèle servante du Seigneur, que, sous la conduite de l’Esprit, ils approfondiront leur intimité avec le Christ. Avec elle, ils contempleront les mystères du Verbe incarné, particulièrement dans la prière du Rosaire.

CC&RR, Constitution 36

« Lorsque nous avons la lecture spirituelle aux repas, quand nous avons le Rosaire le soir, quand nous avons des groupes d’étude, des forums, lorsque nous sortons pour distribuer de la littérature durant les rencontres, ou que nous en vendons au coin des rues, le Christ est là avec nous. »       Dorothy Day

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1 réponse à FAÇONS D’ÊTRE: CONTEMPLER LE MYSTÈRE AVEC MARIE

  1. Denyse Mostert dit :

    Le chapelet est né de la Charité. Celle qui fait attention aux autres. Celle qui désire que tous puissent se laisser guider vers Dieu en pénétrant avec Marie dans les mystères de la vie de Jésus.

    Pas jeune notre rosaire ! On le prie dès les 11ième – 12ième siècles. En lieu et place des psaumes de l’Office liturgiques pour les religieux ne comprenant pas le latin. Et je constate joyeusement en écrivant ces mots, que ni les années qui passent, ni les changements de mentalité n’ont eu raison de cet exercice de piété.

    Beaucoup qualifient de machinale la répétition des cinquante Ave d’un chapelet. Bien sûr si les mots seuls franchissent nos lèvres… Si on n’y met le bonjour venu du cœur et la joie de rappeler à Marie son importance aux yeux de Dieu… En fait la prière du chapelet, c’est le salut joyeux à la femme « comblée de grâce, bénie entre toutes » et mère d’un fils dont on se rappellera à jamais.

    Une mère ne peut oublier son enfant. Qui mieux que Marie pourrait nous accompagner sur les pas de Jésus?

    Difficiles à comprendre les mystères joyeux, lumineux, douloureux et glorieux qui rythment nos Ave ?

    Très simples au contraire si, comme Marie, nous les gardons dans notre cœur. Ils nous habiteront, reviendront à l’improviste occuper nos pensées et nous enseigneront petit à petit son grand « Magnificat »..

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