LE BIEN QUE LES OBLATS ONT OPERE DANS CHAQUE OEUVRE DE SANCTIFICATION QUI LEUR A ETE CONFIEE

Souhaitant établir les oblats dans le diocèse de Sardaigne, Eugène rappelle les fruits de leur ministère dans les diocèses de France:

Les diocèses d’Aix, de Marseille, de Nîmes, de Fréjus, de Digne, de Gap, de Grenoble, celui même de Nice, en ont éprouvé les effets. Si les faits parlaient moins haut et n’avaient pas pour témoins les populations entières de toutes ces contrées, je pourrais en rapporter des preuves irrévocables.
Tous les Evêques de ces divers diocèses ont attesté de leur propre main l’utilité de cette Congrégation et tout le bien qu’elle a déjà opéré dans leurs diocèses respectifs où, depuis quinze années, elle travaille avec un succès qui n’est dû qu’à Dieu, à la sanctification des âmes dans l’exercice des saintes missions, le soin des pauvres prisonniers, des hospices de charité, des séminaires, de toutes les œuvres de miséricorde, en un mot, que les Evêques leur confient.

Lettre à Fr. A Grassi SJ, 11 décembre 1830, EO XIII, n 76

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1 réponse à LE BIEN QUE LES OBLATS ONT OPERE DANS CHAQUE OEUVRE DE SANCTIFICATION QUI LEUR A ETE CONFIEE

  1. Denyse Mostert dit :

    1830 – Lettre à Mgr Grassis, supérieur des Jésuites.

    Point n’est besoin de grands discours pour convaincre le supérieur des Jésuites des bienfaits opérés par les Oblats à Aix, Marseille, Nîmes, Fréfus, Digne, Le Gap, Grenoble, celui même de Nice. Les Évêques de ces différents diocèses ne tarissent pas d’éloges sur les quinze années de présence de la Congrégation, « succès qui n’est dû qu’à Dieu » souligne le fondateur. Au palmarès, la sanctification des âmes , le soin des pauvres prisonniers, les hospices de charité, les séminaires, ainsi que toutes les œuvres de miséricorde confiées par les autorités diocésaines.

    Aucune raison de ne pas en être fier, plutôt s’inspirer d’un passage de l’évangile. « « On n’allume point la lampe pour la mettre sous un boisseau, mais sur un chandelier, et elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison.  » (Matthieu 5.15)

    Ne serait-il pas « juste et bon d’appliquer » ce conseil en parlant simplement des bons coups auxquels nous avons participé ? « Juste », en y voyant l’aide de Dieu et « bon » par l’hommage que nous pourrons rendre à ceux qui ont œuvré à nos côtés ?

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