SAINT EUGÈNE, TRANSFORMÉ PAR SA RENCONTRE AVEC JÉSUS CHRIST –  DANS SES PROPRES MOTS

À 24 ans, il commence une lente évolution spirituelle, et un Vendredi Saint, la grâce va changer sa vie:

J’ai donc cherché le bonheur hors de Dieu, et je n’ai trouvé hors de lui qu’affliction et chagrin.

Heureux, mille fois heureux qu’il ait, ce bon Père, malgré mon indignité, déployé sur moi toute la richesse de ses miséricordes…

Quelle plus glorieuse occupation que de n’agir en tout et pour tout que pour Dieu, que de l’aimer par-dessus tout, que de l’aimer d’autant plus qu’on l’a aimé trop tard.

Notes de retraite, décembre 1814, E.O. XV n.130

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1 réponse à SAINT EUGÈNE, TRANSFORMÉ PAR SA RENCONTRE AVEC JÉSUS CHRIST –  DANS SES PROPRES MOTS

  1. Denyse Mostert dit :

    SAINT EUGÈNE, TRANSFORMÉ PAR SA RENCONTRE AVEC JÉSUS CHRIST – DANS SES PROPRES MOTS…

    Qu’est-il arrivé au jeune homme tout préoccupé de rétablir la fortune de sa famille et fréquentant les cercles sociaux qui vont peut-être lui permettre de rencontrer la riche héritière qui redorera le blason de sa famille ? Rien ne marche de ces recherches. Le jeune Eugène continue à chercher la vie qui saura le satisfaire.

    « Le bonheur, n’est-ce pas ce à quoi tous aspirent et que personne ne dédaigne? Où donc l’ont-ils connu pour le vouloir ainsi? » Comme saint Augustin avant lui, Eugène est à la recherche du bonheur sur lequel il réfléchit profondément.
    (http://www.philosophie-spiritualite.com/textes_1/augustin15.htm)

    À 24 ans, sa foi est demeurée bien vive. C’est ainsi que, le Vendredi-Saint 1807, on le retrouve en contemplation devant un Christ en Croix qu’il n’oubliera jamais. C’est le début d’une lente évolution spirituelle qui déterminera le reste de sa vie.

    Dans ses Notes de retraite, décembre 1814, on peut lire : «Heureux, mille fois heureux qu’il ait, ce bon Père, malgré mon indignité, déployé sur moi toute la richesse de ses miséricordes… »

    Voici scellé le destin auquel le Fondateur va adhérer de tout son être. En 1814, il écrira à l’intention de son directeur spirituel : « Quelle plus glorieuse occupation que de n’agir en tout et pour tout que pour Dieu, que de l’aimer par-dessus tout, que de l’aimer d’autant plus qu’on l’a aimé trop tard. »

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