LA SEMAINE SAINTE : RECONNAÎTRE COMMENT MES ACTIONS OU MES OMISSIONS CONTRIBUENT À LA MISÈRE DES AUTRES

J’étais en état de péché mortel et c’était précisément ce qui occasionnait ma douleur.

Journal de retraite, décembre 1814, EO XV n.130

« Mais alors, comment aller plus en profondeur dans notre spiritualité salvatorienne ? Laissez-moi mentionner trois directions.

b)  Ce genre de rencontre avec le Christ nous portera, comme saint Eugène, à pleurer nos péchés. Parfois nous les reconnaissons, mais trop souvent nous les traitons à la légère, plutôt que de pleurer et d’en être tristes et désespérés. Pour moi, cela ne signifie pas me culpabiliser mais reconnaître comment mes actions ou mes omissions contribuent à la misère des autres. J’ai besoin de m’accepter tel que je suis, avec mes dons et mes défauts, et essayer de mieux suivre le Christ. »

W. Steckling OMI, Information OMI n. 462, Rome février 2007

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1 réponse à LA SEMAINE SAINTE : RECONNAÎTRE COMMENT MES ACTIONS OU MES OMISSIONS CONTRIBUENT À LA MISÈRE DES AUTRES

  1. Denyse Mostert dit :

    MES ACTIONS OU MES OMISSIONS CONTRIBUENT À LA MISÈRE DES AUTRES
    Journal de retraite, décembre 1814.

    Considérant avec désinvolture la plupart de ces péchés, que je tente généralement de laisser dans l’ombre, je pourrais sans problème appliquer cette maxime qui dit : « Ce qu’on ne sait pas ne peut faire mal ». C’est compter sans notre conscience qui nous rappelle la double identité d’humains et de Fils de Dieu qui ne nous quitte pas d’un instant.

    Ce serait compter sans l’Amour de Dieu, sans l’offrande de la vie du Christ immolé une fois pour toutes afin que tous sachent qu’ils sont, sans distinction, dépositaires de la réalité d’enfants de Dieu; celle-là qui ouvre nos yeux à toute blessure créatrice de remords. Comme Eugène, nous pouvons alors dire : « J’étais en état de péché mortel et c’était précisément ce qui occasionnait ma douleur ».

    En place de tant de pleurs inutiles sur ma culpabilité, « j’ai pu reconnaître comment mes actions ou mes omissions contribuent à la misère des autres» et combien à l’avenir « j’ai besoin de m’accepter telle que je suis, avec mes dons et mes défauts, et essayer de mieux suivre le Christ. »

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